| (#) Sujet: "Aurait il mieux fallu que je mente alors ?" Ahmes. Mar 14 Fév 2017 - 14:58 | |
| Khahil Ahmes « Le seul endroit où je me sentais à ma place m’a été fermé à jamais.» | PRENOM(S): Ahmes NOM: Khahil DATE DE NAISSANCE ET LIEU: Karnès. 9 Daeymo 1224 AGE: 24 ans PEUPLE: Peuple de la Terre CONFRÉRIE: Namès RANG: Voyageur |
| VÉRITÉ PRINCIPALE: Vérité de l’Etre DESCRIPTIF: Ahmes a découvert qu’il pouvait apaiser la douleur grâce au contacte le jour où il s’est cogné à un coin de table. Mais il peut aussi soigner par ce même moyen. Même s’il n’est pas obligé de toucher la blessure en elle-même – cela serait difficile parfois – mais la personne afin de guérir. Cela reste une Vérité assez discrète et il n’y a pas de manifestation visible à première vue. L’utilisation de sa Vérité, surtout au niveau de la guérison, épuise Ahmes suivant la gravité des blessures et il peut même s’évanouir s’il a épuisé ses forces. Pour le patient, le processus de guérison n’est pas forcément agréable et se traduit par des picotements au niveau de la blessure, il devra avoir quand même du repos.
ARMES: Deux dagues. DESCRIPTIF: Elles sont simples et sans ornements personnalisés. Ahmes ne les utilise qu’en cas de besoin – le moins souvent possible est le mieux – même s’il sait s’en servir. Il a plus de théorie que de pratique et préfère les affrontements courts, la rapidité prévalant sur la force. De plus, plus le combat est long moins il est à son avantage.
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PHYSIQUE : Ahmes est un Namès aux longs cheveux blancs lui arrivant jusqu’à la taille. Il ne les a pratiquement jamais coupés même s’il les entretient comme il peut. De corpulence élancé, il s’élève à 1m79, appréciant ne pas être non plus trop grand, finement musclé. Sa peau est pâle, parcouru de quelques fines cicatrices sauf son cou portant la marque disgracieuse de son exclusion : chair boursouflée par un sceau de fer rouge. En regardant son visage, ses yeux clairs frappent par leur différence de couleur : l’un est bleu azur l’autre doré. Ses traits sont fins et harmonieux, même si ses expressions sont renfermées sans qu’un sourire ne vienne effleurer ses lèvres minces. Au niveau du vestimentaire, il a abandonné sa tunique blanche pour des couleurs plus sombres tels des pantalons amples gris foncés et des hauts blancs de différentes matières suivant la température. Point important, il s’arrange pour cacher son cou en toute saison, que ce soit avec sa cape la capuche souvent remonté sur sa tête, une écharpe ou un bandage. Il porte à présent quelques bijoux, des butins ramassés. Plus précisément des boucles d’oreilles et un collier, afin de ne pas avoir l’air trop « Namès ». Il porte aussi un sac à bandoulière contenant quelques provisions et vêtements de rechange, ainsi que ses dagues au côté. Il a comme tic nerveux de toujours vérifier si son cou est bien caché et de rabattre la capuche, tirant sur le pan de devant de celle-ci.
CARACTÈRE : Ahmes est à première vue quelqu’un de confiant et hostile au contacte mais professionnel dans l’exercice de ses fonctions dans le rôle d’un guérisseur Namès, il semble plus froid et impassible. Il semble perpétuellement contrarié, ne parlant que peu avec les autres, restant réservé sur sa vie privé et ne voulant pas montrer ses émotions réels ce qui peut donner un manque de spontanéité. Il est plus à l’aise dans l’ombre, même littéralement parlant, qu’exposé en pleine lumière. Il ne veut pas attirer l’attention en étant trop expansif, mais il fait néanmoins attention de ne pas être vue comme un faible à embêter, tentant de faire preuve d’agressivité si on le cherche avec une façade menaçante.
Ahmes est en réalité moins confiant qu’il ne veut le faire paraître. Intérieurement, les autres lui inspirent de la défiance. Il craint leur mépris, leur rejet, le fait d’être exclu encore et toujours. Le jeune homme évite autant que possible de se faire attaquer, parce qu’il ne veut pas avoir à se défendre : cela voudrait dire blesser des gens. Ne vous y trompez pas il est capable attaquer pour sa survie même si en règle générale il ne veut pas avoir à tuer. Le Namès est aussi quelqu’un de confus dans sa tête, sans projet d’avenir à long terme. Il ne sait plus trop où il en est parce qu’à la base, il ne voulait pas de cet avenir. Il voulait être prêtre et inspirer le réconfort aux gens, pas spécialement sa situation actuelle de fait. Il ne pourra jamais l’être, ni réaliser son naïf rêve d’enfance.
Il ne comprend pas encore ce qui lui est arrivé ni comment il a pu en arriver là. Parfois il culpabilise, il se dit que c’est de sa faute, qu’il n’avait qu’à être « normal » et alors rien de tout cela ne serait arrivé – en effet il pense être une anomalie sinon on ne l’aurait pas « jeté » comme un déchet gênant. Il n’aurait pas été obligé de quitter sa famille, ses amis, ni de soigner des gens peu recommandables, en tuer d’autres qui ne le méritaient peut être pas et Yanis serait en vie s’il n’avait pas eu besoin de le protéger. Ahmes se sent malheureux dans cette solitude qu’il n’a pas choisie. Il est bien plus productif et serein dans un milieu où il se sent en confiance ce qui n’est pas arrivé depuis sept ans. Emotionnellement chamboulé, Ahmes nourri aussi de la colère qu’il ne sait pas trop vers qui diriger, menaçant d’exploser.
Son rapport aux dieux a changé aussi. Outre le fait de ne plus avoir le temps de prier et de faire des rituels, il a l’impression d’avoir été abandonné. Il ne comprend pas là encore ce qu’il a fait pour mériter un tel sort. Etalhiel c’est elle jouée de lui ? Il est moins naïf envers l’amour, même si une pars de lui le cherche encore, car de fait ce n’était pas Nazam, espérant tomber dessus au hasard de ses voyages. Les années l’ont rendu plus amer, pessimiste et renfermé. Il est devenu plus réaliste et s’auto-critique lui-même sur son comportement d’adolescent craintif et idéaliste, se traitant même de « débile » pour avoir pensé de telles bêtises. Il a appris à mentir, si un étranger non informé l’interroge sur sa marque au cou qu’il cache normalement, il préfèrera inventer un mensonge. Le jeune homme est aussi frustré, ne pouvant pas assumer pleinement sa condition. Loin d’être asexuel, il lui arrive de regarder les autres hommes et de se dire « si seulement je pouvais… ». Il essai parfois d’attirer légèrement leur attention pour voir s’ils sont réceptifs mais se doit être tellement léger que jusque-là personne n’a rien vu ou ils s’en fichent.
Ahmes n’est néanmoins pas dépourvu de qualités. Il aime aider les autres, les informer et est un ami loyal une fois qu’il a réussi à accorder sa confiance. Il serait toutefois enclin à être trop protecteur envers ceux-ci, angoissé à l’idée de les perdre et possessif s’il venait à trouver l’élu de son coeur. Il sait se concentrer pour utiliser sa Vérité même quand il y a de l’action à côté de lui et connait globalement ses limites. Le jeune homme n’est pas attiré par l’argent – même s’il comprend que cela peut être plus confortable d’en avoir – mais il cherche surtout des sourires chaleureux pour continuer d’avancer.
Il ne connait pas tellement les mœurs des autres peuples – juste des à priori- et a beaucoup de paysage à découvrir. Curieux, Ahmes se demande comment c’est ailleurs sans pour autant osé s’aventurer loin des territoires qu’il connaît déjà. De plus, il n’aime pas trop être en la présence de Namès, car ils savent parfaitement ce que veut dire sa marque et il se sent en colère contre eux.
HISTOIRE : Le jeune couple modeste sourit et remercient Denmia d’avoir exaucé leur prière : Abina attend un enfant, et cela se confirme de jour en jour, son ventre s’arrondissant sous sa tunique pâle. Mathys, même s’il n’est qu’un simple artisan, l’aide à subvenir à ses besoins et les tâches quotidienne pendant la grossesse. Finalement au mois de Daeymo, leur famille s’agrandis. Ahmes nait en bonne santé et la mère se porte bien, le couple n’oublie pas de remercier les dieux pour ce cadeau, présageant d’un avenir radieux pour ce bébé aux yeux atypiques. L’enfant grandissant est calme, bien que peureux, et ne pose aucun soucis à ses parents. C’est avec sérénité que les parents d’Ahmès le confièrent à l’école. Le petit garçon découvre avec émerveillement les différents dieux de ce monde, attentif en cours malgré son jeune âge et gentil avec ses camarades, personne n’a à se plaindre de lui. Dès le début de sa scolarité, il rencontre un autre enfant, Nazam, issu lui aussi d’un milieu peu riche que la nature avait doté de cheveux marron clairs et de grands yeux verts. Ensemble, ils forment des projets d’avenir, ils n’envisagent pas de partir d’ici. Ahmes espère avoir la Vérité de Guérison et sa prière est exaucée. Celui-ci la découvrit lors de sa quinzième année, comme une majorité de ses camarades. Il s’était cogné bêtement contre un coin de table et tandis qu’il se tenait sa cuisse malmené il sentait sa douleur s’apaiser et quand il enlevait sa main, la douleur revenait. Content, son meilleur ami fut le premier à qui il l’annonça. Avec le temps, Ahmes devient … angoissé et anxieux. Il travaillait sa Vérité il n’y avait pas de problème, il faisait tous les rituels ponctuant la journée d’un Namès et souhaitait même entré dans les Ordres, attirés par le culte d’Etalhiel, croyant naïvement au Grand Amour mais ne trouvant pas. Ahmes pensait que cette déesse méritait plus de reconnaissance car sans elle, point de couple donc pas de fertilité (oui il n’envisageait pas les mariages arrangés) et la prie de plus en plus pour rencontrer l’élu de son cœur. Parce qu’à bientôt dix-huit ans, il se sent un peu envieux de ses amis qui sont pour certains déjà fiancés. La réponse ne lui parvint pas exactement comme il l’espérait. Du moins il réalisa que la réponse se trouvait sous ses yeux depuis de nombreuses années maintenant : il ne regardait simplement pas au bon endroit. La solution s’offrit à lui alors qu’il se promenait avec Nazam, par une chaude journée comme le désert en a le secret. Ils ne faisaient rien de particulier, flânant à l’ombre et Ahmes n’avait ne s’était jamais sentit aussi… attiré par son ami. L’atmosphère moite plaquait sa tunique contre son corps, cela lui donnait envie de le caresser. Alors il sut, c’était évident. Mais il n’en dit rien, laissant encore couler quelques jours, ne pouvant se résoudre à avouer l’inavouable. Mais la chance l’abandonne peu à peu, et c’est une conversation bénigne qui signa sa perte au simple détour d’un couloir. Au loin Nazam regardait discuter un groupe de jeune fille, puis déclara soudain, pensif : - Ariella parle souvent avec ses amies, je ne sais pas comment l’approcher…Ahmes le regarda avec incompréhension : - Quoi ?Nazam pencha la tête sur le côté, gêné : - Et bien… Elle est mignonne et je pense que j’ai toute mes chances… Tu viens ? Ca sera plus facile d’aller leur parler si on est tout les deux… Son ami commença d’avancer mais Ahmes le retient par le poignet. - Attends je… je ne suis pas d’accord.C’était absurde, il n’aurait pas dû dire ça mais la peine qu’il ressentait à ce moment-là le submergeait… Il ne voulait pas voir son ami partir vers cette fille. Celui-ci le regardait à son tour sans comprendre, fronçant les sourcils : - Ecoutes, je sais qu’apparemment,… ça ne t’intéresse pas, et que tu n’as personne en vue mais ce n’est pas une raison pour…- C’est faux !- Ah, tu as quelqu’un en vue ? La surprise se faisait clairement entendre dans la voix de Nazam, étonné que son meilleur ami ne lui en ait pas parlé. Avant qu’il n’ait pu réfléchir ou perdre courage, un mot sortit de ses lèvres : « Toi. ». Lentement, Ahmes lui lâcha le poignet alors que Nazam le dévisageait avec stupeur. - Ahmes veut forniquer avec un homme !Qui avait… ? Oh non… Une oreille indiscrète l’avait entendu. Le temps sembla s’écouler au ralentit, le groupe de jeunes femmes regardèrent dans leur direction, les passant s’arrêtent et l’un d’eux fit demi-tour. Ahmes recula « N..Non… ». La peur le prit aux tripes, lui déjà pâle de peau sembla sur le point de faire un malaise. Ce n’était qu’une question de temps… Il ne savait où aller. Ahmes couru tant qu’il le pouvait encore loin de leur regard. Le jeune homme ne savait que faire, se dirigeant chez ses parents pour y trouver refuge. Il entra dans la maison aux murs blancs, essoufflé, sous l’œil ahurit de son père et de sa mère qui ne l’attendaient pas. - Ahmes ?!Les yeux embués, le presque adulte se précipita dans les bras de sa mère. - Maman… Papa… Abina ne comprenait pas. - Qu’y a-t-il ?- Ils vont venir me chercher…Ahmes tremblait, il avait déjà entendu ce que l’on faisait aux gens comme lui. Bien plus qu’une rumeur, il avait déjà vu une femme se faire jeter de la sorte hors de la ville. Il avait peur, ce n’était pas un combattant ni un débrouillard : il n’avait nul pars où se cacher à pars sous son lit. Le jeune homme n’en dit pas plus à ses parents, l’estomac noué, priant les dieux d’échapper à ce sort. L’attente est interminable. Ahmes devait se souvenir ce jour-là du silence. Abina et Mathys ne comprenaient pas, leur fils ne leur expliquait pas malgré leurs questions. Parce qu’il ne pouvait pas tout simplement. Il crut au bout de ce qu’il lui sembla une éternité que l’information n’était pas remontée mais des coups à la porte lui indiquèrent le contraire. Un prêtre et quelques hommes pour l’aider. - Qu’est-ce que vous faites ?- Il sera marqué. Et expulsé.- Non…Ahmes eut beau se débattre, pleurer, supplier rien n’y fit. Il sentit la douleur cuisante sur son cou, leur mépris glacial. Ils le traînèrent jusqu’à la sortie de Karnès, gémissant de douleur, hébété. Quelques curieux s’étaient rassemblés, ses parents hébétés, ses amis, Nazam qui n’osait pas le regarder, le groupe de filles qui chuchotaient entre elles, des professeurs qui avaient crus qu’Ahmes serait promis à un bel avenir. Ils étaient là pour sa déchéance. Après un dernier regard à ceux qui lui étaient cher il s’avança vers sa mort : le Désert de la Patience. ….LE DESERT…. Ahmes allait mourir. Il le savait. La chaleur, la déshydratation, le froid de la nuit ou les vers géants étaient autant d’ennemis contre lesquels il ne pouvait pas lutter. Quand tout sembla perdu à la fin de la journée, il aperçut des chevaux et des gens. A bout de force il pénétra dans leur zone, les prenants pour des nomades, atterrissant à genoux. Des rires retentirent, ils ne semblaient pas commodes. - On le tue ? Il a pas l’air d’avoir de la valeur sur lui.Prêt à faire n’importe quoi pour rester en vie un peu plus, Ahmes monnaya ce qu’il lui semblait raisonnable devant celui qui s’avançait avec sa lame : - Je… Je suis… Je sais soigner.Concertation des bandits. Après un débat de deux minutes, celui qui semblait leur chef répondit : - Ouais. On verra c’que tu vaux.On lui donna un peu d’eau et des restes de nourriture. Voilà qui conclut son contrat. Composés de paria Namès nomades et d’hors la loi de quelques territoires frontaliers, ils étaient une dizaine motivés par la violence, l’argent et la liberté. Ahmes en avait peur. Ce n’était pas des tendres et ils l’excluaient quand même, plus à cause de son caractère que de sa marque pour le coup. Il devint amer, ne priant plus les dieux de façon trop expansive, il pouvait faire une croix sur les ablutions rituelles auxquels il était habitué. Sa vie d’avant lui manquait. Comme il n’était pas mauvais en soin, ils le gardèrent, le nourrirent plus et ne lui faisait pas de mal – un soigneur en bonne santé étant plus productif. Il s’améliora de façon empirique mais ça ne leur suffisait plus : il fallait qu’Ahmes sache se battre afin qu’ils n’aient pas à veiller sur lui pendant les combats. Alors ils lui donnèrent des armes et le plus pédagogique du groupe tâcha de lui enseigner des coups. Enfin, pédagogique c’était vite dit, plus « si tu te bouges pas t’en prends une ». Au bout de deux coups dans la figure le jeune homme compris vite que s’il ne voulait pas avoir mal il devrait s’amélioré. Etrangement, c’est avec son instructeur improvisé bourru qu’il s’entendait le mieux : Yanis. Celui-ci était défiguré, surement d’une bataille il y avait longtemps, et n’attendait vraisemblablement plus grand-chose de la vie. Mais mis à pars durant les cours il le traitait bien, se portant garant de sa sécurité au sein du groupe. La première fois qu’Ahmes dût tuer pour défendre sa vie… c’est vers lui qu’il chercha consolation, ne s’en remettant pas. - Y’avait du.. du sang partout..- C’était toi ou lui, content que ce que j’t’apprends ait servit.Ahmes fini par se faire une raison, essayant de s’inspirer de la vaillance de son nouvel ami, de l’agressivité des autres qui finit par déteindre sur lui et apprenant à être plus autonome. Les années passèrent et petit à petit et le groupe diminuait. Les vers géants, les combats, le manque de motivation et le risque trop grand avait fini par avoir raison de la troupe. Yanis avait succombé lui aussi, sacrifiant sa vie pour lui en prenant un coup de lame, laissant Ahmes dans un profond désarroi. Il combattait pour se défendre parfois, mais ce n’était pas ce qu’il préférait. Même quand il épargnait ses adversaires, les autres les tuaient quand même. Puis ils ne furent plus que cinq, d’un commun d’accord ils se dispersèrent. Alors pour gagner de l’argent ou un repas il restait une chose à Ahmes : il savait soigner. | PRENOM: Chut, c’est un secret. AGE: 24 ans AVATAR: Mew Giao de Jiang Wang 3 TU FAIS DU RPG DEPUIS LONGTEMPS ? 3 ans environs COMMENT TU AS CONNU LE FORUM ? Je connais quelqu’un dessus (*coucou à Caleth* o/), mais je l’avais déjà vu avant alors ça m’a décidé xD UNE QUESTION, SUGGESTION ? Pour le moment non. Mais je ne suis pas habitué au système de point d’xp et de barre de vie dans les forums, j’espère que je ne ferais pas d’erreurs o/(Imgweave bug au moins une fois par semaine en soirée, de fait cela n'affiche plus mon avatar durant cette période ) |
Dernière édition par Ahmes Khahil le Mar 14 Fév 2017 - 22:17, édité 1 fois |
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