Melosa Del Duca

« Il y a nuance entre mourir et disparaître »

PRENOM(S): Melosa NOM: Del Duca AGE: 21 ans PEUPLE: Humain CONFRÉRIE: Parlèms RANG: Courtisane

VÉRITÉ PRINCIPALE: Contrôle du temps. DESCRIPTIF: Melosa possède la capacité de non pas avancer ou reculer le temps, mais de le figer. Toutefois, plus la fissure temporelle est longue, plus elle ralentit et plus elle risque de s'arrêter elle-même avec le temps. C'est pourquoi elle doit toujours se dépêcher. Le monde s'arrête au moment où elle use son pouvoir, mais le monde recommencerait à tourner si la pauvre petite se condamnerait.   ARMES: Deux dagues soeurs. DESCRIPTIF: Elles sont fines, subtiles et courtes. Leur extrémité pointu permet de transpercer aisément, ses contours lisses et biens coupants permettent de trancher sans la moindre effort. Sur la plus dorée des deux se trouve une horloge implantée. Ses aiguilles en or et en argent tournent à son centre, tandis que quatres anneaux - qui encerclent la montre - tournent chacune dans un sens contraire, soit dirigée par les minutes, les heures, les semaines ou les mois. Lorsque le temps est figé, l'horloge est arrêtée. Soit, la plus dorée des deux est importante, mais la seconde n'en est pas moindre. Durant le laspe de temps fixé, la deuxième dague permet à Melosa de savoir quand son pouvoir ne sera plus réversible en perdant de sa teinte graduellement. Cependant celle-ci retrouve ses couleurs à la lumière du soleil qui permet également à Melosa de récupérer.

Je suis et je resterai

PHYSIQUE :

Melosa est taillée d'un bassin trop large et de doigts longs, maigres et pointus. Elle ne fait qu'un mètre soixante-cinq de taille, ainsi que soixante-neuf en poids. Son teint de peau est blafard, il ne bronze pas et pâli d'avantage sous ses longues mèches sombres. De plus, n'avez-vous pas vu son visage, son maquillage ? Orné de deux billes vairons. L'une orange, l'une bleue, le merveilleux mélange dans son regard plein de mystère intrigue les passants. Ses lèvres, subtiles grâce à son fin maquillage blanc, sont naturellement pulpeuses et fières sous son petit nez rond. Quant à son maquillage étrange, elle le fait dans un but anarchique, il représente ce qu'elle est, ses croyances et son passé. Ce qu'elle porte sont de maigres et modestes tissus généralement verts, violets, bleus ou blancs. Des robes qui laissent entre-voir le haut de ses chevilles, voir le début des cuisses. Les vêtements sur ses épaules affirment clairement qu'elle est une prostituée, ce qui fait qu'elle prenne souvent froid.

CARACTÈRE :

Elle est fourbe, sombre et égoïste. C'est avant-tout une courtisane, elle le fait pour l'argent, elle le fait pour insulter ses parents et elle le fait pour fuir son avenir. C'est une femme qui a horreur des faibles, des gens qui dépends d'autres. Elle n'aime pas lorsque l'on touche à ses affaires, ni qu'on la prive de ce qu'elle est venue chercher. Doté d'un génie, la courtisane ne va jamais chercher loin pour trouver ce qu'elle cherche, ce qu'elle désir. Son amour pour l'argent et celui pour le temps font d'elle quelqu'un de charognard, quelqu'un qui ne se privera pas de fouiller dans les bourses étrangèrent. Malgré son tempérament difficile, Melosa aime et aimera toujours ses proches. Son coeur est suffisamment grand pour tous les pauvres malheureux du monde, bien qu'elle en soit majoritairement impuissante. C'est une femme de plus très maternelle, qui aimera ses enfants comme la prunelle de ses yeux. Elle prend soin des autres, elle est joviale et affectueuse. Bien que soupe-au-lait, Del Duca saura faire preuve de discipline, de civilité.

HISTOIRE :

Elle n'a pas eu enfance facile, elle vivait à l'époque dans une petite cabane mal-chauffée et mangeait un jour sur deux du pain. Ses parents étaient pauvres, sa mère malheureuse et son père tout aussi désolé. Elle est né d'une imprudence, mais a toujours su que sa mère l'aimait et l'aimera toujours. Elle en a prit soin à s'en brûler les mains. Dans un cas contraire, son père lui n'avait jamais été fier d'elle, de son accident à lui. Il voulut maintes et maintes la faire disparaître de son présent. Il le fit, mais pas exactement comme il l'aurait souhaité. Il buvait, battait sa femme et son enfant, puis il buvait. La mère en était devenue malade, bien qu'elle guérit, elle n'eut plus la force de s'occuper de sa fille.

Dans l'inconscience et comme seul bagage son coeur lourd, l'adolescente ferma les yeux et s'évada à l'aveuglette. Elle aimait ses parents, elle pleurait des je t'aime à son père avant qu'il ne la frappe. Elle pleurait à sa mère de partir, de partir loin avec elle, en vain. Elle est donc partie, elle a jeté sa dernière larme derrière elle et elle s'est jeté dans les bras des rues. Pour un laspe de temps, la fillette buvait l'eau de la pluie, mangeait ce que les plus généreux donnaient et se lavait dans la boue des ruelles. Pendant un laspe de temps, elle a vécu l'enfer, avec un coeur léger. Plus elle oubliait ses parents, mieux elle se portait. Entre les bains de boue et le pain râssis qu'elle avalait, la cadette tournait autour d'une maison close, elle ne savait pas ce que c'était, mais il y avait des femmes aimantes qui recueillaient chaque jour des hommes. Peut-être recueillaient-elles des enfant ?

Les mains pleines de courage et la tête elle remplit de nuages, la petite s'était infiltré dans cette maison close, elle y avait vu des hommes, des femmes, mais pas d'enfants. Sur le pas de retour, elle croisa une femme un peu plus âgée - elle-même vêtue de maigres tissus - qui lui jeta un premier regard, plein d'amour, plein de douceurs. Ses mains de velours étaient posées sur les joues sales de l'enfant et tout de suite, elle était tombée amoureuse. Ainsi, la cadette avait rejoint les courtisanes, une mère lui avait été donnée par dieu, la plus formidable. Une vieille femme stérile qui n'avait pour rêve qu'un enfant. Entre ses moments de bonheur, Melosa apprit la lecture, la musique. Elle eut des cours de bienséance, de postures pour être belle et de beaux discours pour charmer hommes et femmes. La langue française n'avait jamais été aussi diverse, complexe et difficile à apprendre. Chaque jour elle mangeait un repas différent, chaque jour elle voyait de nouvelles choses et chaque jour elle s'envoyait en l'air pour quelques pièces d'or. C'était beau, c'était amusant et ce n'était pas compliqué. Pourtant la haine envers ses parents, elle, ne cessait de croître. Ce fut d'elle quelqu'un de vaniteux qui n'aimait pas ses parents, qui les détestait et qui avait décidée de tuer son passé, avec ce maquillage de mort, ce maquillage étrange qu'elle portait pour crier son innocence, sa liberté, ses lois à elle. Ce qui effrayait d'ailleurs une bonne majorité d'hommes, mais ça, c'est le sacrifice du métier.

 

De l'autre côté du miroir

PRENOM: Acrimonie AGE: 16 ans. AVATAR: Charlie Bowater TU FAIS DU RPG DEPUIS LONGTEMPS ? Wow, heu... Peut-être 4 ans. °° COMMENT TU AS CONNU LE FORUM ? Magazarb, l'admin elle-même. c: UNE QUESTION, SUGGESTION ? LE FORUM EST FABULOUS ! J'ai rien à dire sinon. xD