Isaak, c'est celui qui sait. Qui sait qu'il a ce physique charmant, qui attire tout les regards.

Du haut de son mètre 85, on peut facilement voir son visage aux traits fins. On remarque très vite ses yeux bleus en amande. Ils sont vifs et d'une aussi belle couleur que celle d'un ciel d'été, sans un nuage. Ses pommettes sont marquées légèrement, et viennent accentuer un grand sourire éclatant de joie de vivre... et charmeur aussi. De magnifiques cheveux dorés coiffés en bataille, mais de manière très calculée, viennent embellir son portrait.

Bien sûr, tout serait parfait sans une belle cicatrice rose tracée en diagonale en plein milieu de son visage, passant sur son nez. A moins que cela vienne rajouter un plus ? Il faut dire qu'il peut raconter l'origine de cette blessure de guerre de manière complètement épique, affolant ainsi les galeries, cachant ainsi, la marque de sa bêtise.

Son corps est fin, mais pas maigre. Musclé par les entraînements, sa peau est restée sans égratignure et reste rosie, signe qu'il est bien nourri et en parfaite santé. Ses mains sont plus marquées par son maniement de la lance. Dans tout les cas, on peut voir qu'il s'agit d'un combattant plutôt agile, qui n'est pas dans la force brute.

Niveau vestimentaire, Isaak choisit avec soin ce qu'il met. Loin de lui l'idée de prendre le premier vêtement venu - même si c'est l'idée qu'il veut qu'il se dégage, vous savez, le mec qui semble avoir pris des vêtements au pif mais qui au final, lui vont trop bien - sa tenue est choisie avec soin. Tout est toujours bien assorti, ni trop coloré, ni trop sombre, c'est le parfait équilibre. Il rajoute bien souvent une petite touche bien à lui, un accessoire, une veste, montrant son appartenance à une famille noble. Ce n'est pas pour être pédant, c'est juste qu'il aime bien. Et puis, n'allez pas l'imaginer dans ces vêtements trop serrés, le confort reste important tout de même. Il faut dire, pour bouger, c'est quand même mieux.

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 Sed quid est quod in hac causa maxime homines admirentur et reprehendant meum consilium, cum ego idem antea multa decreverim, que magis ad hominis dignitatem quam ad rei publicae necessitatem pertinerent? Supplicationem quindecim dierum decrevi sententia mea. Rei publicae satis erat tot dierum quot C. Mario ; dis immortalibus non erat exigua eadem gratulatio quae ex maximis bellis. Ergo ille cumulus dierum hominis est dignitati tributus.

 Eodem tempore etiam Hymetii praeclarae indolis viri negotium est actitatum, cuius hunc novimus esse textum. cum Africam pro consule regeret Carthaginiensibus victus inopia iam lassatis, ex horreis Romano populo destinatis frumentum dedit, pauloque postea cum provenisset segetum copia, integre sine ulla restituit mora.

 Vide, quantum, inquam, fallare, Torquate. oratio me istius philosophi non offendit; nam et complectitur verbis, quod vult, et dicit plane, quod intellegam; et tamen ego a philosopho, si afferat eloquentiam, non asperner, si non habeat, non admodum flagitem. re mihi non aeque satisfacit, et quidem locis pluribus. sed quot homines, tot sententiae; falli igitur possumus.