L'on chuchote que le professeur qui donnait discrètement de nuit des cours dans Galea, connu plus particulièrement sous le nom de Elrik Vencens, boucher de jour, a disparu. Est-ce un coup des miliciens ? D'un concurrent jaloux ? De sa femme qui rêve de déménager ? Ou des marchands d'esclaves ? Sa fille vous supplie d'enquêter et vous prévient que son père est devenu maladroit avec l'âge.

Aucune intervention MJ n'est à prévoir, libre à vous de vous exprimer.

Votre premier message devra introduire votre personnage dans cette situation, comment a-t-il rencontré la fille et pourquoi décide-t-il de l'aider.

La quête doit minimum être faite en 3 post, le 2nd pour dire comment vous trouvez le père et le dernier pour décrire votre réaction et comment vous obtenez le livre.

Vérification du matériel ; sarbacane ok, fléchettes trois restantes, fléchettes poisons et soporifique non-disponibles... Après examination de ton matériel, tu décides de te rendre dans la ville la plus proche pour voir si tu ne peux pas faire le plein de munitions, il te reste en effet trois jours à tenir avant de pouvoir répartir de cet endroit.

"Quelle chaleur !" Râles-tu, en même temps, c'est normal qu'il fasse chaud puisque tu te trouves au Mont Torgern dans les pays des Liares. Il est inutile donc de continuer à te plaindre si tu n'es pas content, il ne fallait pas aller t'entraîner sur le territoire des Liares.

Te voilà donc arrivés à Galea une ville de démons, malgré le fait qu'il n'y pour le moment aucun conflit entre les humains et les liares tu te fais dévisager par beaucoup de gens, chose que tu peux comprendre après tout un humain dans cet endroit ça ne court pas les rues. Mais passons, te voilà arrivé chez un armurier qui malheureusement n'a pas de fléchettes spéciales, tu décides donc tu lui en prendre dix normal et tu te diriges l'extérieur du magasin, tu t'installes dans un quoi et commence à sortir deux fioles, l'une contenant un poison mortel, l'autre contient un liquide somnifère.

Voilà une bonne chose de faite maintenant, tu possèdes cinq fléchettes, trois soporifiques et deux poisons. Alors que tu t'apprêtes, tu entends qu'un professeur qui en réalité est boucher... Tu décides de passer ton chemin seulement voilà qu'arrivé aux portes de la ville, tu aperçois une jeune femme pleurer dans un boucherie, tu vas donc voir pourquoi pleur t-elle, toi défenseur de la veuve et de l'orphelin... Sérieusement, tu perds ton temps la réponse est évidente la personne qui a disparue avait surement une relation avec cette pleurnicharde.

Hé voilà, tu ne m'as pas écouté, tu as perdu du temps, la réponse et que le boucher qui a disparu est son père, je te l'avais bien dit, mais en plus de ça, tu as fini par lui promettre de retrouver son père en échange d'un sourire, tu me fais pitié ! Commence donc par activer ta gemme afin de prendre l'apparence d'un Liares tu pourras récolter plus d'informations de cette manière et en plus tu attireras moins l'attention des gens. Malgré le fait que je sois contre je dois dire que cette mission de traque a comme un goût de nostalgie n'est-ce pas mon cher numéro 12.

Tu te diriges donc vers une ruelle sombre où tu es sûr de tomber sur personne, une fois là-bas, tu actives ta gemme prenant ainsi l'apparence d'un liare tu, décide d'enlever ta capuche puis tu commence donc la chasse aux informations, c'est parti pour commencer, tu décide d'aller interroger le voisinage, peut-être que les gens parlerons penses-tu... Non mais sérieusement souviens toi les gens ne parlerons s'il a disparu, tu vas devoir chercher des informations par toi-même, infiltration, vol, espionnage tout ça, rappelle-toi, c'est ce que tu as appris étant plus jeune...
De toute façon depuis sa mort, tu n'es plus pareil, elle qui a planté les graines de la bonté en toi, les a fait germer au moment de ça mort en fait, vous êtes aussi pathétique l'un que l'autre, un beau duo de looser, numéro 12 et numéro 16... Enfin là n'est pas la question pour le moment concentrons-nous sur notre chasse à l'information, maintenant que tu as bien vu que personne ne souhaite parler, tu vas peut-être décider d'agir comme il le faut, tu sais crocheter une serrure, fouiller les maisons du visionnage, espionner les voisins et surtout faire confiance à ton instinct après tout, tu ne le formes pas depuis près de quinze ans pour rien.
Alors que tu te diriges vers la boucherie, tu remarques une personne suspecte rodée autour, tu t'avances donc vers elle d'un pas discret pour ne pas te faire voir, enfin, c'est plus simple à dire qu'à faire étant donné ton apparence de liare tu ne peux pas mettre ta capuche… Ce qui baisse ta discrétion à ton sens, mais si je pense personnellement que ce n'est que dans ta tête tout ça. Dans ta tête ou pas en effet la personne vient de prendre la fuite en te voyant arriver, tu décides donc de la poursuivre, bien joué, c'est la première fois que tu prends une bonne décision aujourd'hui…
Il ne fait ni une ni deux avant que tu rattrapes la personne faut dire qu'elle n'avait pas l'air à l'aise dans sa course, c'est bizarre. Une fois attrapé, la personne, tu lui pointes le bout de ta lame sous la gorge et tu lui demandes de compte. Après même pas dix secondes d'hésitation la personne balance tout ce qu'elle sait, L'alchimiste de la ville et un groupe de personnes ont payé ce mec pour déposer une lettre de rançon discrètement dans la boucherie… Après une minute de silence, tu prends l'envellope lisant l'heure et le lieu où l'argent dois être déposé puis tu dis à l'autre morveux
« Tu diras à ces raclures, que je viendrais moi-même déposer l'argent et que s'ils ont touché aux moindres cheveux du vieux, je leur promets une mort lente et douloureuse. »
Tu laisses donc le morveux partir puis tu te diriges vers la boucherie expliquer où tu en es à la gamine… Laisse moi prendre le contrôle pour la suite des événement après toi, j'ai déjà un plan et je te promets qu'il n'arrivera rien à la petite, par contre je ne te garantis rien pour les autres, après tout, j'ai envis de m'amuser.
« Bon, maintenant, suis-moi, allons retrouver ton père et faire la fête à nos chers amis » dis-je avec un grand sourire sur le visage, c'est bon d'avoir enfin le contrôle, on va s'amuser !

Enfin, j'ai le contrôle, enfin, je suis libre même si ce n'est que temporaire, je vais pouvoir m'amuser un peu, je jette un coup d'œil pour voir si la naine me suis toujours, bien évidemment qu'elle me suit après toi, elle aime son paternel et elle veut le revoir, rah l'amour, c'est bien un sentiment dont je ne comprendrais jamais l'utilité, comment les gens peuvent le désirer à ce point alors qu'il a le don de te faire souffrir lorsque la personne est loin de toi ou alors qu'elle ne s'intéresse pas à toi, mais surtout, c'est le seul sentiment capable de détruire tout ton univers en une fraction de seconde, je sais très bien de quoi je parle et toi aussi n'est-ce pas Gabriel. Alors que nous allons bientôt arriver à l'endroit où la transaction aura lieu, je proviens la petite de rester derrière et surtout d'aller se cacher si les choses dégénèrent et pour être honnête, j'espère que ça va se gâter, je pourrai m'amuser, de toute façon les choses vont dévier de leur trajectoire puisque je ne compte en aucun cas payer ces raclures qui utilisent des méthodes bien trop stupides.
Nous y voilà une petite place entourée de ruelles, elle semble déserte cette place j'espère pour eux qu'ils ne ce sont pas dégonflé sinon je les retrouverai et les tuerais ! Alors que nous arrivons au centre de la place une silhouette sort de derrière trois caisses superposées les unes sur les autres, il aborde un léger sourire, sourire que je me ferai une joie de faire disparaître.
« -Bon alors voici la personne qui m'a fait perdre une journée juste pour de l'argent… Argent qu'il ne touchera pas au passage… Je te propose de demander à tes copains de sortir de leur cachette et de directement me livrer le père de la petite ça vous évitera de vous prendre une raclée voir même la mort, faut dire, je ne me suis pas défoulé depuis quelque temps. »
Pourquoi les gens n'écoutent jamais quand on les avertit, le monsieur d'en face invite ses amis à sortir, mais également à m'attaquer, ces gens sont sans espoir, j'esquive facilement le coup de premier puis lui plante dans le bras une fléchette de poison, le voilà paralysé, le deuxième et le troisième attaquent en même temps, j'esquive le coup de pied, mais je me prends le coup-de-poing dans l'épaule, c'est dingue ce que le type est faible sérieusement, je n'ai presque rien senti de son coup, ça se voit que ces mecs bluff souvent et ne se battent pas souvent. Je sors les deux parties de ma sarbacane prêts à venger l'affront qu'il m'a fait en me touchant, d'un simple geste, je lui tranche la gorge, effrayant de se fait les trois personnes qui restaient, alors me tournant vers l'alchimiste, je prononce ces mots :
« Je veux le père maintenant sinon, ce sera à votre tour, je vous éliminerai un part un bien sûr, je vous ferais de plus en plus souffrir au fur et à masure que j'avance dans le nombre de mort. »
Sur ces mots, l'alchimiste me donne l'endroit le père est retenu à savoir derrière les mêmes caisses d'où il est sorti. Je me retourne vers la gamine qui est sous le choc, qu'ils sont faibles les gamins de nos jours, l'autre entre en état de choc juste pour un cadavre dans le camp adverse en plus. Enfin, je laisse les agresseurs fuir puis je délivre le boucher qui me remercie, alors qu'il allait me raconter le pourquoi du comment de cette histoire je l'arrête lui expliquant que je ne veux rien savoir que je n'ai pas de temps à perdre, alors pour me remercié, il m'offre un livre sur des légendes Liares.
Nous voilà aux portes de la ville, je te rends le contrôle, j'espère que tu as apprécié le spectacle mon cher numéro 12.