| (#) Sujet: Baltus Imoruan Dim 14 Juin 2015 - 16:30 | |
| Imoruan Baltus « Le Chaos est mon outil contre la Lumière » | PRENOM(S): Baltus Emile Nori NOM: Imoruan DATE DE NAISSANCE ET LIEU: Ecrire ici AGE: 35 ans PEUPLE: Humanoïde humainement stupide CONFRÉRIE: Recleyes RANG: Ténébreux | | VÉRITÉ PRINCIPALE: Vérité de l'être DESCRIPTIF: Ecrire ici comment se manifeste votre don, 5 lignes minimum sont exigées.
Mon sang n'est pas un poison, non.... Il héberge juste toutes les souches de maladies, connues ou non, existantes ou pas encore, mais pour contrôler quelle maladie je veux obtenir, il me faut en connaître les symptômes et effets. Sinon, mon sang reste un concentré de bacilles et virus suffisamment puissant pour déclarer une bonne infection multiple. Le problème de ce sang est qu'il est extrêmement dangereux de combattre à mes côtés sous peine d'infection à la moindre blessure me faisant saigner. Autre point négatif, dont je n'ai pas encore connaissance... Toute projéniture que j'aurais naîtra malade. Je contaminerais aussi toute femme partageant la couche ténébreuse.
ARMES: -Une seringue - un sabre DESCRIPTIF: La seringue est sous spoiler, mais possède une aiguille en plus. Le sabre possède une lame de soixante-quinze centimètres entaillée, une rayure sur d'une dix centimètres sur la face gauche, à peu près centrée.- Spoiler:
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PHYSIQUE : Je suis brun aux yeux marrons, le physique passe partout. D'une corpulence moyenne, sans mon masque il serait impossible de m'identifier dans la foule. Je suis en effet presque toujours masqué lors de l'exercice de mes fonctions. Vous pouvez souvent me voir en armure, lorsque je porte le masque (spoiler), ou en habits de citoyen lambda tête nue. Cette armure, elle est connue et reconnue par mes semblables pour être mon armure de "parade", même si actuellement personne ou presque ne m'a vu combattre en la portant. Du côté des habits, je les préfère sombre, avec une certaine tendance passe partout. Le peu de personnes ayant vu mon visage et connaissant mon identité sont ma mère, richard et Séléne. Autant dire que la simple populace ne risque pas de me reconnaître dans la rue. Les rares choses pouvant permettre de m'identifier sont : la taille de mes jambes (en faisant extrêmement attention, on repère que ma jambe droite est plus courte de quelques millimètres que la gauche), ma paume gauche qui a une vielle cicatrice, et mon dos qui est resté marqué par une punition de jeunesse. - Spoiler:
CARACTÈRE : Ecrire ici, 10 lignes minimum
Vous venez d'arriver devant une figure masquée sur son trône d'acier. Les gardes en poste ne vous remarquent même pas. Vous voyez son oeil ouvert, mais pourtant cette personne ne bouge pas, elle commence à fermer les yeux et vous êtes aspirés à l’intérieur de son esprit. Contrairement à ce que vous croyiez, il ne s'endormais pas, il commence juste à rejoindre son palais de la mémoire. Comme certaines personnes dans le monde, il a organisé son esprit en une sorte de bâtiment ou chacune des choses qu'il considère importante ou digne d'intérêt se retrouvent sous forme de tableaux/sculptures/décorations en tous genres. Il peut soit créer des pièces, soit mélanger les informations, voire imaginer des "décoration" inexistantes telles qu'une statue d'animal ayant la tête d'une de ses connaissances, etc...
Vous le suivez donc dans le palais de sa mémoire, et voyez pile en face de l'entrée un grand cadre vide, intitulé "Assassinat du père Imoruan". Le hall ne consiste qu'en cette particularité puis se divise en deux couloirs, dont celui de gauche porte le panneau "Passé" et celui de droite est nommé "Maintenant". Accrochés à sa déambulation, vous ne pouvez pas choisir quelle direction il va emprunter. Étonnamment, il tourne le tableau et descend dans les sous-sol de son palais. Ses basements son fondés par son être intérieur profond, et vous voyez au fur et à mesure de sa descente que de très rares objets sont déposés ici bas. Vous arrivez, en dessous, dans une cave faite de piliers et d'arches de style gothique, dont quelques uns ont un mot gravé, peint, voire même en relief, au niveau des yeux.certains piliers sont plus massifs que les autres, telle que celui marqué du sadisme ou de la colère, mais il n'en est aucun plus solide que celui qui fait la base inamovible de notre homme. Ce pilier énorme est lui aussi noté, et ce qui y est noté peut vous paraître extrêmement étrange d'après le reste de ce que vous avez vu, mais il s'agit de "fidelité". L'homme sort de son sanctuaire en vitesse lorsque son titre est prononcé, mais vous vous retrouvez coincés dans son esprit alors que son audience commence. Malgré le calme qu'il insuffle à sa voix au début de la conversation, vous savez qu'il exècre au plus au point les discussions stériles et les formules pompeuses que lui adresse les quelques anciens conseillers de son père lui semble dépassées, de même que leurs conseils. Il estime qu'une unique force de frappe, aussi importante soit-elle, ne sera jamais suffisante pour vaincre les autres confréries.
Vous lassant de l'entrevue, vous vous rendez compte que vous pouvez déambuler librement entre les pensées et souvenir du ténébreux. C'est ainsi que vous apprenez sa manie de se promener à visage découvert parmi ses sujets, évitant ses anciens professeurs pour ne pas être reconnu vu que ses sujets ne connaissent que son masque. Vous voyez qu'il préfère faire attention au moral des troupes malgré son goût pour la souffrance d'autrui, et depuis qu'il a compris l'échec et l'obstination de son père, il reconnais la justesse du jugement de sa mère, même s'il ne se l'avouera jamais. Le chaos, vous n'en trouvez mention qu'au fond de son crâne ordonné. Un plan qu'il s'efforce de verrouiller dans son esprit. L'illogisme de ses raisonnements vous surprend pourtant dans certains des souvenirs que vous captez, telles les fois ou il sauve des animaux, mourants, alors que d'autres, dans des circonstances identiques, il les achèves ou les regarde souffrir. HISTOIRE : Ecrire ici, 20 lignes minimum
Je suis né, quel scoop n'est-ce pas? Je n'ai de mon enfance que peu de souvenir, tous ayant pour fond les murs de mes appartements de la tour sombre. Je ne connais pas mon père... Le peu que j'ai vu est constitué de tapisseries. Ma mère m'a toujours raconté qu'il avait été tué par des espions des anciens, ce qui a finit de me rendre haineux à leur encontre.
Dès mes 6 ans, elle m'a forcé à me rendre à des leçons avec un maître d'armes afin "d'être au plus tôt capable d'éliminer les assassins de ton père" comme elle disait. C'est là bas que j'ai rencontré mon meilleur ami, Richard. Ce dernier me permettait d'ailleurs d'oublier que ma mère n'était présente que pour me faire des remontrances, et encore, même pour ça, je ne la voyais presque jamais. L'éducation, j'en garde un très bon souvenir, c'était les seuls moments ou je pouvais oublier le bourrage de crane maternel, qu'elle savait faire passer malgré son absence, et faire les 400 coups avec Richard. Une fois, lors de nos débuts, nous n'avons pas été suffisamment discret et cet écart est arrivé aux oreilles maternelles. Je me souviens encore qu'elle à décroché le sabre paternel de la cheminée avant de m'ordonner de me retourner... Puis une douleur atroce dans le dos. Ce fut grâce aux conseils avisés de Jastes, mon maître d'armes, que Richard m'a appliqué différents baumes cicatrisants et censés apaiser la douleur, ce qui fonctionna d'ailleurs très bien.
Il est temps de passer à mon adolescence. J'ai comme tous les autres du réveiller ma Vérité à treize ans... Je suis donc un maître des maladies... Quoi de mieux pour le futur ténébreux? Personne dans la classe excepté mon ami richard et les professeurs ne sait que je suis destiné à les gouverner tous vu que je donne une fausse identité, et c'est ainsi que je peux sympathiser avec mes futurs sujets. L'une d'elle se distingue car elle ne veut pas tellement utiliser sa Vérité. Cette Ariane Vahndek me semble aussi résignée... Elle ne semble pas enthousiaste à l'idée de grandir... Il paraît qu'elle est promise au ténébreux, selon ses dires, mais pourtant je n'en ai pas entendu parler... Et ma mère qui ne m'écoute jamais, ça n'aide pas du tout.
C'est ensuite que je deviens ténébreux, adulte. Il est temps pour moi de nommer un bras droit et un bras gauche. Si pour le premier le choix de Richard s'impose sans hésitation, je suis contraint de réfléchir bien plus pour trouver le second. J'ai choisit un homme qui ne m'a pas trop marqué pendant nos classes. Je l'ai remarqué pour sa discrétion justement. A peine en poste, je lui donne une mission complexe. Il doit en effet remonter jusqu'au commanditaire de l'assassinat de mon père.
Pendant sa première semaine d'absence, une jeune demoiselle joue aux invités surprises. Elle se prénomme Opale et désire rejoindre nos rangs. Je la fixe, et je remarque qu'elle soutient mon regard malgré le masque, puis lorsqu'elle reçoit la lumière noire initiant la perversion de sa Vérité, je me concentre sur son observation pendant que ses muscles se contractent. J'ai rapidement compris que je ne tirerais rien de son visage, sa volonté l’empêchera de laisser sortir le moindre son, à moins que ce ne soit de l'orgueil. Cependant, son corps se contracte en réaction à la douleur, et voir ainsi ses membres frêles trembler sans contrôle, sans même qu'elle s'en rende compte, me procure un plaisir que je ne m'attendais pas à ressentir. Un sourire étire mes lèvres derrière le masque. Après le temps complet, elle se détends et je perds un peu de ma joie. La réponse qu'elle me donne lorsque je lui redemande son identité me satisfait, et je l'emmène directement aux quartiers de l'école militaire.
Quelques années plus tard, mon bras gauche encore sur la piste, je dois recevoir une classe dont le professeur à pris une initiative, celle de me présenter la nouvelle génération de récleyés. Ils sont en deuxième année, et ont pour la plupart quatorze ans. Ils se présentent chacun leur tour, afin de montrer l'éducation qu'ils ont reçus, et de "faire honneur à l'enseignant". Ce dernier transpire à grosses gouttes car il sait que si ces présentations ne me conviennent pas il risque de perdre son poste... S'il est chanceux. La classe est presque terminée, mais tout d'un coup je suis figé par la présentation d'une jeune brune, Séléne... Je prétexte que sa présentation est maladroite pour lui ordonner de recommencer en dernier. Enfin, c'est de nouveau son tour, j'attends qu'elle ai fini pour me lever et descendre. En descendant les quelques marches, je répète ce nom mentalement afin de le graver dans mon esprit, et je fixe ce visage afin de ne jamais l'oublier. Une fois en bas, ne pouvant détacher mon regard de celui de cette adolescente majestueuse, je lui dit qu'elle a mieux réussi cette fois. J'arrive enfin à regarder ailleurs, et vais féliciter l'enseignant. En fin de "cours", lorsque le professeur fait l'appel sur sa liste, un nom est barré, avec ma signature à côté. Séléne Driswain est désormais mienne, que cela lui plaise ou non.
Je viens de recevoir une lettre de mon bras gauche... Il y dit que l'assassin de mon père n'est pas la personne exécutée à l'époque, mais ma mère. Une semaine plus tard, je reçoit un autre courrier signé de sa main.... Avec du sang en guise d'encre. J'ouvre le colis... et... J'y trouve sa main gauche, accompagnée de son poignard ensanglanté, avec un petit mot caché dans la paume... Un "Adieu" marquant, et extrêmement rageant. Pour me passer les nerfs, vu que mademoiselle doit terminer ses études avant de venir à moi, je me dirige vers les cachots d'un pas soutenu, et à la manière dont mes pieds tapent le sol, tous les serviteurs comprennent qu'il ne fais pas bon passer devant mon regard et prennent des couloirs adjacents. Une fois dans les geôles, je trouve un prisonnier à vie... Il tombe à pic celui-là... Hop, il n'a pas le temps d'émerger de son sommeil qu'il m'accompagne menotté jusqu'à l'une des chambres de tortures. Heureusement pour lui, la vierge de fer n'est pas dans celle-là. Je l'attache, et n’arrête de le torturer que lorsqu’il s'évanouit. Je le réveille une fois, trois fois, cinq fois, et n'arrête la séance qu'après la sixième réanimation, car la septième ne fonctionne pas. Je le traîne donc jusqu'à sa cellule en indiquant au garde de le soigner du mieux qu'il peux, tout en me souvenant que c'est pour ses connaissances médicales plus qu'autre chose qu'il a obtenu ce poste.
Deux semaines plus tard, la jeune opale monte encore dans la hiérarchie grâce à ses capacités. En regardant ses résultats de l'académie militaire et sa méthode d'action actuelle, je n'ai plus aucun doute sur le poste que je veux lui attribuer. Je la fais convoquer et lui apprend dans la journée qu'elle est promue à un nouveau poste, celui de bras gauche du ténébreux. Je n'écoute pas les protestation du pseudo conseil que j'ai mandé, ils sont juste là pour la déco, à part richard, qui est d'accord avec moi d'ailleurs, comme toujours.
Maintenant que je sais que ma mère est derrière l'assassinat de mon père, je deviens paranoïaque, mais tente de le dissimuler. Le seul point visible est que je garde toujours la main droite proche de la garde de mon arme maintenant. Ce réflexe m'a d'ailleurs sauvé la vie. Une fois, un des domestiques à tenté de m'assassiner, je ne sais pas pourquoi. Il n'a rien dit sous la torture, et est resté muet jusqu'après le rendez-vous avec la lame du bourreau. Tout ce que je sais, c'est que son coup d'estoc à rayé ma lame lorsque j'ai dégainé, et m'aurait percé la panse si ma main s'était trouvée pendue à côté de mon corps, comme j'en avait l'habitude auparavant.
Je suis maintenant fiancé avec Ariane, comme elle l'avait prédit, et ce malgré le peu d'entrain que je mis à lui faire la cour, ce qui est une douce manière de dire que je ne lui accordais aucun regard. Séléne vis dans la tour jusqu'à ce qu'elle accepte mes sentiments pour elle, mes deux bras sont occupés, et je peux me concentrer sur le reste. La manière dont le monde lumineux retombera sous ma coupe. Je réunifierais le monde humain sous la seule bannière récleyés! Pour cela, je vais avoir besoin d'espions et de toute ma logique pour créer des évènements surprenants. Tous doivent me croire désorganisé et chaotique afin de semer me doute en leur esprits et ainsi leur faire avoir des ouvertures.
| PRENOM: vincent AGE: 19 AVATAR: Fanart de Zhao Yun TU FAIS DU RPG DEPUIS LONGTEMPS ? j'ai fait deux ans d'addiction intensive, suivi de presque un an de traversée du désert, avant de vous trouver COMMENT TU AS CONNU LE FORUM ? Je sais plus.... -_- je cherchais un forum rp futuriste, puis... je sais plus comment , je suis tombé sur vous.... UNE QUESTION, SUGGESTION ? Où sont mes cookies???? |
Dernière édition par Baltus Imoruan le Lun 6 Juil 2015 - 0:15, édité 27 fois |
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