J'étais à nouveau dans une taverne, en train de boire une bière avant de repartir vers d'autre extermination. J'avais assis à mes côtés Yol mon fidèle loup de feu qui attirait beaucoup l'attention. Sur le haut de mes 16 ans et avec ma petite taille, les gens ne me prenaient pas au sérieux. Cependant, Yol ainsi que mes deux épées que j’avais posées sur la table faisaientt qu’ils n’osaient pas s’approcher de moi et ils n’osaient pas rigoler de moi non plus. Sauf une personne. Un gamin de 11 ans qui est venu à ma table sans la moindre hésitation. Yol grognait pour que le gosse s’en aille, mais il restait là, planté devant moi sans dire un mot. Commençant à être agacé, je lui demandais d’un ton agressif :
Qu’est-ce que tu me veux gamin ?
Je suis venu pour vous demander quelque chose.
Je n’ai pas que ça à faire, donc maintenant tire toi !
Ah oui, vous avez quoi à faire ? Boire de l’alcool toute la journée en matant la tavernière sans rien tenter ?
Yol se leva alors sur ses 4 pattes en même temps que je me levai et empoignais mon épée. Mon compagnon me demanda alors :
Jono laisse moi le plaisir de le bouffer.
Tu connais mon code Yol, il à le droit a une question.
Je plaçai alors la pointe de mon épée sur la gorge du jeune garçon.
Alors gamin, ta question ?
Le jeune garçon me regarda alors droit dans les yeux et me dit de la façon la plus calme possible :
Quelle est votre histoire?
Je retirais alors ma lame de sa gorge. Le petit m’intriguait. Il n’était pas effrayé et souhaitait connaître mon histoire.
Pourquoi veux-tu connaître mon histoire petit ?
C’est rare de voir des hommes si jeunes se balader avec deux si belles épées et un loup de feu qui parle.
Je me rassis alors demandant à Yol de faire de même par la pensée.
Tavernière rapportez deux bières et remplissez nos chopes quand elles sont vides !
Je ne bois pas encore de bière monsieur.
Ferme là, profite de ta bière et écoute gamin !
Je me remémorai alors mon passé réfléchissant par quoi commencé. Quand soudain, j'eus la meilleure idée au monde :
Bon, je vais commencer par le début. Je suis né il y a 16 ans dans la vallée des âmes dans la famille Katsuya. C'était une famille extrêmement croyante ne pensant qu'à une chose protégée la vie. Je n'ai jamais compris leur attirance pour la vie. Pour moi, la vie n'a aucune importance. Prendre la vie d'un autre est aussi grave que se nourrir ou que d'aller pisser, mais je m'égare. J'étais fils unique, je n'avais que ma mère et mon père. La seule personne qui restait dans ma famille était mon oncle qui habitait chez nous malgré le fait que mes géniteurs le détestaient. Pourquoi ça me demanderas-tu, et bien simplement que comme moi, il ne respectait pas vraiment la vie et également parce qu'il était un assassin, ce qui n'était pas vraiment en accord avec leurs idées. C'est d'ailleurs mon oncle qui m'a dit les bases de la discrétion durant toutes ses vantardises, qui d'ailleurs étaient la raison de ma haine envers lui. Je dus les supporter durant 13 longues années. N'ayant reçu aucun cadeau étant donné que mes parents essayaient de me punir suite au coup-de-poing que j'avais mis à ma mère. Je décidai de me procurer mon propre cadeau. J'attendis que la nuit tombe et une fois la maison dans le noir, je me rendis dans la chambre de mon oncle. Je me faufilais jusqu'à son bureau pendant qu'il ronflait et lui vola l'épée qu'il avait sur le bureau. C'était une magnifique épée noire fine et discrète idéale pour un assassin. C'était elle que je voulais ainsi qu'une dernière chose : une tenue noire qu'il exposait dans sa chambre, c'était sa tenue quand il était jeune assassin. Je la voulais absolument alors il n'y avait pas énormément de possibilité. Je pouvais tout simplement lui voler et me partir, mais ça m'ennuyait de faire ça, alors je lui tranchai la gorge. J'enfilais alors ma toute nouvelle tenue, mais elle m'allait trop grande alors je lui pris une autre tenue pour le temps que je grandisse et je m'habillai en regardant le corps sans vie de mon oncle qu'il se vidait de son sang. C'était tellement bon de le voir mourir ! Je m'empressai alors de sortir de la chambre, car ma soirée n'était pas finie. Je me rendis dans la chambre dans mes parents et les tuai sans aucun scrupule. Une fois mon objectif atteint, j'accrochai ma toute nouvelle arme à ma ceinture pris un sac dans lequel je mis la tenue noire que j'avais tant convoité. Puis parti loin.
Je me levais et attrapais mes épées et me tournais vers une table ou deux hommes rigolaient tout en sirotant leurs bières.
Vous avez déjà fini votre histoire ?
Je me plantais alors devant la table des deux hommes puis je plantais mes épées dans leur crâne avant de les laisser mort sur la table. Je retournais alors auprès du jeune garçon qui m'attendait toujours à notre table et me rassit.
Ils faisaient trop de bruits. Donc j'en étais aux meurtres des derniers membres de ma famille. Après ça, je tuais quand j'en avais envie ou le besoin et à l'âge de 15 ans, je pus enfin mettre ma tenue noire. À partir de ce jour, je ne la quittai plus. Pour fêter ce grand jour, je me rendis dans une bijouterie où se trouvais un vendeur qui me dit, dès le moment ou je rentrai dans sa boutique, de partir, mais au lieu de faire ce qu'il me dit je le tua et prix tout les diamants que je pus trouver. Je me rendis ensuite chez un forgeron réputé de la ville. Je lui demandai alors s'il était capable de me forger une épée aussi petite et fine que ma première. Il me répondit alors : "pas de soucis mon garçon tant que tu as de quoi payer." Je dus attendre une bonne semaine avant de pouvoir toucher cette épée, mais une fois qu'elle fut finie le forgeron n'accepta pas que je la prenne, car je n'avais pas l'argent, il emporta alors mon épée faite de diamant chez lui. Dans le fond, ce n'était pas vraiment un problème. Durant la nuit, je me rendis chez lui, je pris mon épée et voulu le réveiller avant de lui enfoncer mon épée dans le ventre, mais c'était une erreur. Le forgeron se leva d'un bond et de ses grands bras bien plus musclés que la moyenne, il m'étrangla. Je pensais que j'allais mourir, mais mes yeux se posèrent sur le feu de cheminée qui se trouvait dans la chambre. C'est alors que jailli un loup de feu créé grâce à ma vérité. Il sauta sur le forgeron et le tua. C'est à partir de ce jour-là que la solitude abandonna ma vie. Voilà gamin, c'est fini.
Je me levai puis accrochai mes épées à ma ceinture.
Vous vous en allez déjà ?
Oui ,mais le problème c'est que vous avez tous entendu mon histoire peut-être pas en entier, mais des parties, donc je ne peux vous laissez en vie. En plus, toi gamin, tu m'as énervé.
Je sortis mes épées et tuai le gamin avant de tuer un à un les personnes qui venaient me défier puis je tuai même ceux qui ne voulaient pas se battre. Je partis ensuite de la taverne, Yol à mes côtés.