| (#) Sujet: Nayeli Sinèad Sam 10 Jan 2015 - 15:43 | |
| Nayeli Sinèad « Sometimes we win, sometimes we learn. » | PRENOM(S): Nayeli, plus communément appelée Eli NOM: Sinèad DATE DE NAISSANCE ET LIEU: Premier jour d'Asmobor 1228, à Saona AGE: 20 ans PEUPLE: Humains CONFRÉRIE: Anciens RANG: Chasseuse de monstres | | VÉRITÉ PRINCIPALE: Vérité de la Nature DESCRIPTIF: La vérité de Nayeli passe par le chant avant tout. Elle est capable, d'une simple mélodie fredonnée, de faire danser le bois et pousser les plantes, et c'est aussi en chantant ou en sifflant qu'elle contrôle ses "marionnettes", des golems de bois de petite taille qu'elle aime fabriquer. Elle a déjà essayé de maîtriser sa vérité sans émettre le moindre son, mais elle n'arrive à rien. Selon ce qu'elle veut faire, elle peut généralement y parvenir en sifflant ou en fredonnant; mais lorsqu'elle cherche à produire un effet complexe et à dépasser ses propres limites, il lui arrive d'inventer des paroles, que ce soit sur le moment ou avant. Impossible de savoir si ce besoin de chanter est véritablement lié à la Vérité ou si c'est simplement un moyen pour elle de se concentrer, mais, en tout cas, elle ne parviendra pas au moindre sort en restant muette.
ARMES: Un arc et un poignard DESCRIPTIF: L'arc: Sculpté dans un arbuste tendre par Eli elle-même sans la moindre aide de ses dons, il est de forme simple mais décoré de divers symboles plus ou moins abstraits, quelques-uns représentant des plantes, d'autres quelques animaux tels que des ours ou des loups, et le reste n'étant que des formes au hasard. Il est relativement dur à bander mais tire loin et de manière précise. Elle possède, avec, un carquois de cuir et de bois garni de quinze flèches qu'elle a également taillées.
- Image de l'arc:
Le poignard: lame en cristal de feu et manche en bois et en cuivre, ce poignard paraît plus décoratif qu'autre chose mais, bien affuté, il est redoutable. Son manche est garni d'une tête d'ours à l'oeil d'émeraude dont la bouche ouverte semble cracher la lame, qui elle est sculptée de deux serpents entremêlés mordant chacun sa propre queue.
- Image du poignard:
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PHYSIQUE : Nayeli est une jeune femme de taille moyenne et au physique relativement banal, bien qu'agréable à regarder. Elle possède de longs cheveux bruns ondulés qu'elle laisse pousser depuis son enfance et qui lui arrivent désormais au niveau des reins; ils sont d'un marron sombre et voluptueux contrastant à peine avec sa peau mat. Ses yeux sont d'un vert un peu doré mais très doux.
Son visage est long et fin, avec une mâchoire bien dessinée. Son nez est assez large, un peu écrasé. Ses lèvres, elles, sont épaisses et naturellement plus sombres que la moyenne, ce qui lui donne un petit côté sauvage. Sa silhouette, elle, est tout en longueur et en finesse, bien qu'elle soit peut-être un peu plus musclée que l'Ancien moyen. Elle reste cependant très agile, mais s'est plusieurs fois révélée moins rapide que ses compatriotes. Mais bon, elle les bat presque tous au bras de fer, et c'est déjà pas mal.
Niveau vestimentaire, Nayeli n'a jamais cherché à faire dans l'originalité: des vêtements généralement verts ou marron, suffisamment souples pour lui permettre de tirer à l'arc, grimper aux arbres et chasser sans être gênée. Ses seuls accessoires sont des bracelets de cuir qui ne la quittent jamais, son carquois qu'elle porte à son dos, et son poignard, soigneusement rangé dans son fourreau à sa hanche. Seule marque de coquetterie, elle aime porter des plumes accrochées dans sa chevelure. Elle fait la collection des plumes de toutes sortes ramassées dans la forêt et aime en arborer de nouvelles chaque jour, les combiner différemment chaque fois. Elle en prend grand soin.
Enfin, Eli aborde quelques tatouages. Gravés dans sa peau d'une encre marron un peu rouge, ils parcourent sa joue droite, mais aussi une partie de son dos et sa hanche gauche. Bien qu'abstraits, leurs motifs ne sont pas sans rappeler la courbure d'un arc, mais également les boucles de ses cheveux ou les arabesques des poussières dans le vent. CARACTÈRE : Nayeli est une jeune femme ayant soif d'aventure avant tout. Elle n'a qu'une envie, voyager aux quatre coins de Madelle, le tout en vivant des aventures et, éventuellement, en s'amusant. En effet, bien qu'elle prenne certaines choses au sérieux, c'est une fille généralement légère et prête à rire de toute situation. Les seules choses à propos desquelles elle ne plaisante jamais sont la mort et le culte inconditionnel qu'elle porte à la nature et à toute vie.
Bien sûr, Nayeli ne fait pas que rire tout au long de la journée, et elle prend même très à cœur son travail de chasseuse de monstres. Ce métier, qu'elle n'aurait jamais pensé exercé quelques années auparavant, représente désormais tout pour elle. Elle ne le fait pas que pour l'argent, et il lui arrive même de refuser un réel paiement et de se contenter d'accepter quelques vivres avant de reprendre sa route; si elle fait cela, c'est pour les gens qu'elle sauve, mais aussi parce-que le frisson du danger la rend heureuse au quotidien. Elle a besoin de risquer la mort pour se sentir vivante.
Eli peut parfois se montrer imprudente, un peu stupide, et franchement pas très réfléchie. Il est fréquent qu'elle attaque un monstre dangereux qu'elle n'a jamais affronté sans réfléchir au moindre plan d'attaque, simplement en se lançant à l'assaut avec son arc. Elle a conscience des risques qu'elle prend, mais n'a simplement aucune envie d'y réfléchir. Comme elle le dit souvent: "c'est en se jetant à l'eau qu'on apprend à nager ! Ou alors on apprend à se noyer. Mais dans ce cas-là, on n'est plus tellement en mesure de s'en plaindre."
Malgré cette légère débilité que l'on qualifiera de "douce impulsivité" pour ne pas froisser les esprits, Eli est capable, parfois, d'être sérieuse, et elle possède un véritable savoir-faire. Elle est très dévouée à son culte de Mère Nature et adresse également des prières à Ciorel, Seliope et Niria chaque jour, ainsi que les autres dieux qu'elle connaît selon les situations. Elle a suivi des cours à l'académie de Saona, et, bien qu'elle n'ait pas été douée dans beaucoup de matière et qu'elle ait eu tendance à sécher les cours trop barbants, elle s'est révélée très talentueuse dans la maîtrise de sa Vérité ainsi que dans divers arts de combat, notamment le tir à l'arc, qui est une véritable passion pour elle depuis le plus jeune âge. Et, bien qu'elle soit une vraie furie toujours en mouvement, elle est également capable de faire preuve d'une patience sans limites lorsqu'il s'agit de fabriquer ses armes ou d'en prendre soin.
Au niveau social, Nayeli est quelqu'un de parfois un peu bourru, mais sympathique. Passée la première (ou la deuxième) impression qui la montre comme une fille solitaire et malpolie, elle sait se montrer une amie loyale et dévouée, et serait prête à tout pour le peu de gens qui comptent dans sa vie, à commencer par sa famille. Elle a simplement parfois du mal à apprécier passer du temps avec les gens, et préfère rester seule, mais elle sera toujours là si quelqu'un qu'elle aime à besoin d'aide. Elle s'entend en revanche mieux avec les animaux, et aime, lorsqu'elle en a l'occasion, tenter d'apprivoiser des Cerva Sumas, des Lùinwê, mais aussi des créatures bien plus dangereuses, ce qui l'a parfois mise dans des situations délicates.
Pour finir, malgré sa vie joyeuse et animée, Nayeli garde une blessure profonde en elle, une préoccupation qui prend de plus en plus de place dans son esprit: en 20ans de vie, elle n'a pas encore trouvé son animal gardien, celui dont l'âme sera liée à la sienne. Elle sait qu'il faut parfois être patient, mais voir chaque jour des anciens bien plus jeunes qu'elle ayant déjà leur compagnon lui brise le cœur à petit feu, et elle y pense de plus en plus, ce qui la rend parfois mélancolique. HISTOIRE : Je me souviens, gamine, avoir cherché partout dans les bois. Je grimpais aux plus hauts mirlis, je rampais dans l'herbe, je fouillais les moindre buissons, sans jamais trouver. Faut dire que si j'avais su ce que je cherchais, ça aurait peut-être aidé.Une femme avance seule dans les bois, par un premier jour d'Asmobor plus froid que la moyenne. Elle peine à avancer, précédée par son énorme ventre qu'elle protège du mieux qu'elle le peut de ses bras et d'une peau de bête. Elle y est presque à présent, la capitale n'est plus très loin, mais elle n'est pas sûre d'avoir le temps, elle n'est pas sûre que son bébé accepte d'attendre qu'elle ait parcouru les derniers 500 mètres qui la séparent d'un médecin. Cet enfant a toujours été trop impatient. Même pas né encore, et déjà pressé de vivre. Finalement, la femme finira par s'écrouler en pleine rue, ses longs cheveux noirs tapissant le pavé. Elle sera secourue, bien sûr, mais après ? Elle est seule, elle n'a pas de père pour son enfant. Le père, il est reparti parmi les siens, loin, si loin d'elle, sans savoir qu'elle allait donner la vie. Et puis après, s'il l'avait su ? Qu'est-ce qu'ils auraient bien pu faire, se marier ? Mais ils viennent de deux lieux différents, de deux cultures différentes. La même race, mais deux mondes si éloignés... Elle n'aurait jamais quitté la forêt pour lui, et lui n'aurait pas renoncé à cet emploi qui le définit tant. Elle est seule, et seule elle élèvera sa fille. Car c'est une fille, qu'on lui remet dans les bras après un accouchement difficile. Née avec un bon mois d'avance, le premier jour d'automne, toute petite, toute frêle, au point que sa mère se demande si elle passera l'hiver. Mais elle compense sa petite taille en braillant deux fois plus fort que tous les autres enfants, comme pour gueuler au monde, déjà, qu'elle est là et qu'elle ne se laissera pas faire. ~ Une fillette aux longs cheveux bruns court dans les bois, pieds nus, riant aux éclats. Dans sa main droite, une épée de bois; dans la gauche, une grande écorce lisse - que dis-je, un bouclier scintillant. Elle galope dans la forêt, criant sur tous les toits qu'elle sera Chevalier ou ne sera pas. Elle a cinq ans à peine, et déjà, elle se bat contre tous les rochers qui osent la regarder de travers, contre toutes les racines malveillantes qui la font trébucher. Elle terrasse ainsi ses terribles ennemis, sous l’œil perplexe des adultes qu'elle croise. Les anciens ne sont habituellement pas particulièrement bagarreurs, à part quelques exceptions bien sûr, mais cette gamine fait preuve d'une joyeuse violence qui surprend tout le monde. Peut-être cela vient-il du fait qu'elle n'a pas de père et que sa mère, la pauvre petite sculptrice de bois, n'a pas toujours le temps de faire son éducation... Une vingtaine d'enfants d'une dizaine d'années sagement assis dans une salle de classe, à écouter un professeur déblatérer sur l'histoire de son monde et de son peuple. Parmi eux, une fillette aux longs cheveux bruns ne fait que semblant d'écouter, semblant d'être assise sur une chaise. En réalité, elle est bien loin d'ici, dans des contrées mystiques, juchée sur le dos d'un grand dragon cracheur d'épées (ce qui est tout de même, vous en conviendrez, bien plus effrayant qu'un dragon cracheur de flammes), protégeant la veuve et l'orphelin à grands coups de flèches dans la tronche des méchants. L'enfant commence à s'interroger sur le monde qui l'entoure. Pourquoi est-ce que personne ne veut se battre en duel avec elle ? Pourquoi est-ce qu'elle est quasiment seule en cours de combat ? Pourquoi est-ce que tant de jeunes anciens rêvent de devenir Gardiens, et si peu ont envie de partir à l'aventure en tant que Chevaliers ? Et pourquoi est-ce qu'à peu près tous les autres ont un père alors qu'elle n'en a pas ? Alors elle pose toutes ces questions à sa mère, et sa mère ne répond à aucune d'entre elles. Comme quoi, visiblement, les mères ne savent pas tout. Mais très vite, l'enfant grandit, devient une jeune femme, et une jeune femme sait différencier les questions stupides des autres. Elle fait alors le tri, et, à la fin, une seule question reste, à laquelle sa mère ne répond toujours pas. Il est pourtant impossible qu'elle ne sache pas, c'est donc qu'elle cache la vérité, et cela, elle ne le supporte pas. Pour Eli, c'est là la plus grande injustice que ce monde puisse lui imposer: savoir qu'elle a un père, savoir que sa mère sait qui il est, et ne rien savoir du tout à son propos. Pour quelqu'un avec un sens de la justice si développé (après tout, quand on est le futur meilleur chevalier du monde, on a un grand sens de la justice), ce n'est pas acceptable. Alors la jeune femme se rebelle. Elle cesse d'aller en cours, elle passe ses journées dans les bois à tirer avec l'arc qu'elle a fabriqué de ses propres mains. Elle n'a pas utilisé ses dons de Vérité pour ça, la vérité et les armes, ça ne se mélange pas; elle a tout fait à la main, minutieusement, patiemment. Elle s'entraîne rageusement, jour après jour. Elle continue de s'entraîner avec des épées de bois, aussi. Et en cours de combat, elle est devenue la meilleure de son âge. Malheureusement, dans les autres cours, elle est sans doute la pire, et elle finit par laisser tomber totalement l'Académie. A la place, elle commence à chasser, pour avoir quelque-chose à apporter à sa mère, et pour utiliser le seul vrai talent qu'elle ait. Chasser lui plaît, même si elle se sent toujours triste à la mort d'un animal. Cependant, elle prie toujours Niria pour que l'animal repose en paix. A chaque fois. Alors, elle aussi, elle est un peu plus en paix. ~ Cela faisait plusieurs jours qu'Eli, maintenant âgée d'a peine plus de vingt ans, pourchasse cette proie. C'est un jeune cerf séparé de ses pairs, qui, d'après ses empreintes, est probablement blessé. Une proie facile, donc, mais qu'elle a laissé filer plusieurs fois par inadvertance. Il est grand temps qu'elle l'ait et qu'elle le ramène. Elle a conscience d'être allée trop loin, trop longtemps, et que maintenant non seulement la chasse n'en vaut plus vraiment la peine, mais en plus elle va galérer pour ramener sa prise jusqu'à la maison, mais elle est bien trop têtue pour laisser tomber. Elle l'aura, ce stupide cerf. Soudain, elle entend des cris, lointains, en contrebas. Un groupe de chasseurs, autour d'un feu de camp, dans le crépuscule d'hiver. Ils sont cinq, six tout au plus, armés d'arcs et de coutelas. Tout autour d'eux, les encerclant, hurlant, des loups, semblerait-il. Sans réfléchir, Nayeli bondit et dévale à toute vitesse la colline sur laquelle elle était juchée. Et, plus elle se rapproche, mieux elle comprend son erreur, car ce ne sont pas de simples loups mais des Ethren Itakas, esprits de loups d'après les racontars des gens de Saona. Mais ils sont bien physiques, cela, elle l'a retenu de ses cours, et s'ils ont un corps, ils ont une mort. Et cette mort, c'est elle. Généralement, ces monstres n'attaquent pas les hommes, elle le sait; il lui est arrivé, au cours de ses chasses, d'en croiser, de loin, qui l'observaient un instant avant de faire demi-tour et de reprendre leur vie. Elle les a toujours trouvé magnifiques, gracieux, rendus plus beaux encore par leur furtivité. Ce soir, ils ne sont plus furtifs, ils ne sont plus gracieux: ils sont affamés par cet hiver qui dure trop, et ils sont terribles. Alors elle bande son arc, et, sans hésiter, elle lâche la corde. Une fois la flèche tirée, plus rien ne l'arrête, et elle continuera sa course jusqu'à s'être fichée dans la chair de ton ennemi - ou dans le bois de l'arbre le plus proche, si tu es mauvais tireur. Tu ne peux pas rappeler la flèche qui vole. Alors, avant de la tirer, réfléchis bien, sois sûr de toi, et, surtout, sois prêt à tuer.Le cri du premier monstre fut déchirant. Celui du deuxième le fut tout autant. Les chasseurs réagirent à leur tour, et un troisième, puis un quatrième animal tombèrent. Finalement, le reste de la bande partit, sentant le combat tourner à leur désavantage. Nayeli, elle, se contenta de sortir son couteau de chasse et, marmonnant une prière à Niria, d'achever les bêtes mourantes. Les chasseurs venaient d'un petit village non loin, et, pour la remercier de son aide, lui offrirent des stocks de viande séchée et salée, ainsi qu'une poignée de jolies pièces d'or qui tintaient d'un joli son clair dans sa poche, sur le chemin du retour. Arrivée chez sa mère, Nayeli avait eu trois jours de route pour réfléchir aux événements, et sa décision est prise. Elle a renoncé depuis longtemps à l'idée de devenir chevalier: trop d'engagements, trop de serments, et elle n'aime pas l'idée de devoir promettre quoi que ce soit à qui que ce soit. De plus, elle sait qu'elle ne sera jamais la personne désintéressée qu'elle aurait aimé être: elle a des intérêts personnels, elle veut retrouver son père, et elle aime bien aussi le son de l'or dans sa poche. Elle a trop de respect pour l'idéal chevaleresque pour se permettre de le salir en devenant elle-même chevalier. En revanche, elle peut simplement devenir chasseuse de monstres. Ainsi, elle sera libre de ses mouvements, tout en aidant tous ceux ayant besoin d'aide lorsqu'elle s'arrêtera quelque-part. Ce qu'il lui reste à faire, c'est poser une dernière fois la question à sa mère: qui est son père ? Où est-il ? Une fois encore, sa mère refuse de parler. Mais, devant la détermination de sa fille à partir, elle lui offre tout de même deux choses: un couteau, précieux, venu de son père lui-même, et une phrase, plus précieuse encore: "Si tu veux le retrouver, et s'il est toujours celui qu'il a été, c'est vers les Montagnes de Saphir que tu dois diriger tes pas." Nayeli partit quelques jours plus tard et, après quelques mois à traîner de village en village, restant parfois quelques jours lorsque les paysans avaient des soucis avec des monstres des environs, renflouant lentement sa bourse, elle finit par arriver à Faras, où elle prévoyait de se préparer pour son périple jusqu'aux Montagnes de Saphir. Son histoire commençait enfin. | PRENOM: Lucy AGE: 18ans AVATAR: The Huntress par Nathalia Gomes TU FAIS DU RPG DEPUIS LONGTEMPS ? Ouhlà, oui ! Je crois que mon premier forum rp remonte à mes 12 ou 13ans... Mais j'ai eu quelques interruptions, et je m'y suis remise sérieusement depuis à peu près deux ans. COMMENT TU AS CONNU LE FORUM ? Par un top-site UNE QUESTION, SUGGESTION ? Rien de particulier, par contre je tiens à vous féliciter pour votre univers très complet et très intéressant (lèche-bottes power xD mais c'est sincère ^^) |
Dernière édition par Nayeli Sinèad le Lun 12 Jan 2015 - 22:36, édité 8 fois |
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