Lointain dans une contrée inconnue, se trouvait une grande demeure habité par un noble en fin de vie. On raconte qu'il possédait deux enfants prêt à tout pour s'emparer de l'héritage de leur père. Dans le crépuscule, une silhouette se dessina devant la demeure qui semblait protégé par deux grands rocs. Cette silhouette s’éclaircit peu à peu avant de constater que c'était un jeune femme qui s'approcha devant les deux gardes, elle portait à sa main gauche un panier rempli de baie exotique et sa main droite était plongée dans les fruits au-dessus de celle-ci il y avait un papier pour inscription : Pour le maitre. Présent devant les deux gardes, la femme ne disait point de mots comme si elle avait la langue coupée. L'un des deux prit la parole :

- Eh bien tu as perdu ta langue ?

Le second gloussa dans sa manche puis repris son collègue

- Mais non c'est une esclave ! Regarde de plus près il y a une inscription sur ce bout de tissu.

Il s'approcha du papier pour lire les caractères qui étaient à peine lisible, quand soudain une dague surgit du panier en direction du visage d'autrui. Dans un élan de peur le second dégaina son épée pour s'attaquer à la jeune femme, la lame du front du premier s'extirpa pour rencontrer l'épée, de ce choc s'en suivi une lumière blanche aveuglante. Quand celle-ci se dissipa, deux corps inertes sans vie étaient présents devant l'entrée de la demeure.

La jeune femme s'avança à l'intérieur de la demeure à la recherche du vieux noble, toute forme de vie qu'elle rencontra fut éteinte par sa dague. Cela pouvait être esclave, enfants, femmes, gardes rien ne survivaient à la bise du poignard sur le cou, la femme donna du travail à Uraang. Une montagne de cadavre était délaissée derrière elle quand enfin il resta une seule salle, une chambre d'enfants. Des cris d'enfant ressortaient de celle-ci, la jeune femme s’introduit dans la chambre, il y avait un bambin dans le berceau au fond de la chambre. Un pas, un cri, un second pas, un hurlement, un dernier pas, un tonnerre. La main de la jeune femme caressa le bambin, la simulation d'une présence maternelle calma le nourrisson. Un vieillard fit irruption dans la chambre :

- S'il vous plait madame, je vous donnerais tous ce que vous désirez mais épargner cet enfant je vous en supplie !

La jeune femme se retourna en soupirant vers le vieille homme puis rétorqua d'une voix grave et agacée.

- Il y a mépris sur mon identité.... Je suis homme mais ce n'est point grave on se trompe souvent à propos de moi. Bien, ou est votre héritage tant convoité par votre enfant. Je ne lui ferais aucun mal, la n'est pas mon intention.

- Dans le matelas du berceau, j'y ais caché toute mes économies.

A peine ces paroles prononcées, le jeune homme à l'aide sa dague asséna des coups raides et froids du thorax au bassin du môme. Ces coups étaient porter comme si, il creusait un trou. L'intensité, les larmes, les cris et le sang se mélangeait au rythme de la lame. Des perles de sang était en suspens dans les airs quand brusquement des étoiles dorées apparurent. Centaines par centaines les pièces d'or giclaient du matelas, les yeux grands ouvert, le jeune homme semblait en contemplation devant l'or recouvert de sang. L'homme agé offusqué et dépité demanda pourquoi avait il fait cela. Et savez ce que le jeune homme a répondu ? Ceci :

- Ne me demander pas pourquoi j'ai fait ça. Demandez-moi comment suis-je devenu comme ça.... Je vais vous conter une histoire pour vous consoler ensuite je m'occuperais de votre premier fils de 15 ans et vous. Quant à mon acte, je préfère laisser aucun orphelin à ma charge.