| (#) Sujet: Larm Valden Dim 30 Juin 2013 - 22:49 | |
| Larm VALDEN ! « Il n'existe qu'une seule liberté : celle de sa battre pour conquérir la liberté...»
| PRENOM : Larm NOM : Valden AGE : 28 ans PEUPLE : Humain CONFRÉRIE : Arvèles RANG : Dragonnier |
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| VÉRITÉ PRINCIPALE : Vérité des Armes DESCRIPTIF : Larm est capable d’apprendre à manier n’importe quelle arme : en quelques minutes, il devient un combattant respectable, en quelques heures, un combattant redoutable. Certes, cela n’atteint cependant pas la perfection, à moins de s’entrainer durant des années. Cependant, s’il ne pratique pas souvent l’arme qu’il a appris, il perd ce savoir et devra réapprendre pour l’utiliser à nouveau comme un guerrier chevronné. Il est également capable de renforcer la dureté d’un métal (autrement dit, il le purifie de ses impuretés), mais dans une certaine mesure : il ne pourra jamais rendre l’or plus dur que l’argent, c’est chimiquement et physiquement impossible.
ARMES : Épée et arc DESCRIPTIF : Son épée est relativement fine et maniable. La garde est longue et permet de tenir l’arme à deux mains si nécessaire, mais sa légèreté permet le maniement à une main. Une pierre bleu pâle est incrustée en haut de la garde, et le pommeau est formé d’un croissant de lune. Son arc quant à lui a été fabriqué dans un bois bleu gris et a été énormément travaillé au niveau de l’ornement. Deux petites pierres, identiques à celle de sa lame, sont incrustées à même le bois au centre des ornements.
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Je suis ... et je resterai ...
PHYSIQUE : De taille standard, aux environs de 1m80, Larm n’est pas quelqu’un qui impressionne au premier regard. Sans avoir les épaules très larges, il dépasse cependant la moyenne, ce qui est dû à son maniement quotidien des armes, comme beaucoup d’Arvèles. Son corps a été sculpté par son entrainement et il ne présente pas un pouce de graisse en trop, il est tout en muscle et en nerf. Son corps porte cependant de nombreuses cicatrices, certaines dues au combat, d’autres à sa rencontre avec son dragon, Shan : en particulier, une cicatrice sur son œil droit a bien failli lui faire perdre en partie la vue, mais la chance était de son côté ce jour-là. Larm porte ses cheveux bruns relativement courts : ils tombent sur son front et légèrement dans sa nuque mais guère plus. Ses yeux bleu clair, qui apparaissent presque translucides au soleil, sont assez expressifs, au contraire de son visage qui ne reflète que peu ses sentiments, sauf quand il s’amuse beaucoup au combat ou qu’il est vraiment surpris. Il essaie de ne pas arborer de barbe, quelque peu soucieux de son image. Côté vestimentaire, Larm se balade presque tout le temps avec une armure légère sur le dos, mais très solide (il l’a renforcée au préalable), l’épée au côté et l’arc en bandoulière. S’il ne porte pas son armure (il dort sans quand même), il porte une chemise en lin claire, un pantalon foncé et ses éternelles bottes. Grâce à sa Vérité, il est ambidextre dans le maniement des armes, pour le reste, il est gaucher. CARACTÈRE : Larm est d’un naturel enjoué lorsqu’il est en présence de gens qu’il apprécie. En présence d’inconnu, il semble assez froid et distant. Il a toujours eu du mal à faire confiance aux autres mais a fait un énorme travail là-dessus et commence à accorder sa confiance un peu plus vite et un peu plus souvent, tout en gardant cependant une certaine réserve. Calme et patient, il n’atteint que rarement ses limites, sauf si on touche à des sujets sensibles, auquel cas, comme lorsqu’on le pousse à bout, il explose et rentre dans une colère noire et perd toute notion de retenue. Sur un champ de bataille, il ne perd cependant presque jamais le contrôle de lui-même et agit avec de manière méthodique et avec une précision à faire froid dans le dos. Le seul problème est s’il s’emporte : il devient dangereux pour les autres et pour lui-même. Cela ne le gêne pas plus que ça pourtant puisqu’il aime se battre et considère que si une personne ne peut se défendre, alors elle est faible et ne mérite pas d’être protégée (exception faite des enfants cependant, et des femmes qui ne savent pas se battre, ou qui apparaissent faibles au premier abord, ce qui lui a valu parfois quelques ennuis). En matière de femme, Larm est plutôt timide et manque de confiance en lui, même s’il ne l’avouerait pour rien au monde, il est bien trop fier pour montrer ses faiblesses. Mais tout ceci s’envole s’il boit un peu trop : il devient bavard, un peu lourd sur les bords, mais reste de bonne compagnie tant qu’il ne prend pas une cuite. HISTOIRE : Larm s’assit sur le bord de la corniche, loin au-dessus de Ferèsis. La cité des Montagnes de Saphir brillait dans le soleil couchant, grouillant d’activité malgré l’heure. Laissant ses jambes pendre dans le vide, le jeune homme sourit. Il était né dans cette ville près de vingt-trois ans plus tôt. Il n’avait jamais connu son père, mort peu de temps avant sa naissance, et avait grandi avec sa mère et sa sœur, Ilya. Leur mère était décédée il y a quelques mois, emportée par la maladie. Ilya était introuvable depuis plus d’un an, après qu’elle avait décidé sur un coup de tête de partir à l’aventure. Larm s’était donc retrouvé seul dans leur maison, seul après avoir passé de longs mois à soigner sa mère et à attendre en vain le retour de sa sœur. Il n’avait pas pu le supporter. Beaucoup d’Arvèles s’orientaient vers le métier de forgeron, de par leur affinité avec les armes et les métaux, mais Larm n’avait jamais été attiré par cette voie. Vers ses seize ans, sa Vérité s’était manifestée alors qu’il s’entrainait avec ses amis. Il était devenu un habile manieur d’épée en bois en quelques minutes et n’avait plus perdu aucun combat au bout de deux heures. Cette aptitude s’était vérifiée par la suite avec diverses armes, même s’il avait remarqué qu’il perdait ce savoir fraichement acquis s’il n’en usait pas régulièrement. Il avait opté pour une épée et un arc quelques années après, deux armes qu’il portait sur lui alors qu’il se tenait au-dessus de la ville. Il voulait partir, partir explorer le monde. Il en avait assez de rester cloîtré dans cette ville. Certes, Ferèsis était magnifique, mais il aspirait à quelque chose de nouveau, à une vie plus trépidante. Il comprenait un peu mieux les sentiments d’Ilya désormais. Sa décision avait été vite prise, et en quelques heures, il était prêt à partir. Larm se leva, dangereusement près du bord. Un sourire aux lèvres, la main posée sur le pommeau de son épée, il se détourna du précipice et emprunta le sentier par lequel il était venu, mais au premier embranchement, il prit un chemin différent, un chemin vers l’inconnu...
Larm plongea in extremis derrière un rocher et s’y adossa en grimaçant. Son œil droit complètement fermé pissait le sang, ce qui était le cas de nombreuses autres blessures sur le reste de son corps. Son armure était en pièce, mais elle avait eu le mérite de le protéger des crocs du dragon qui se baladait non loin de lui. Il avait pénétré son territoire sans s’en rendre compte, ne distinguant pas les indices de la présence d’un dragon dans la pénombre qui précède le crépuscule. C’est bien ma veine, mais pourquoi est-il aussi agressif ? Sans chercher à l’intimider, le dragon l’avait immédiatement attaqué. Larm avait bien failli y perdre un œil. Il s’agissait d’un jeune dragon, d’un très jeune dragon, il mesurait à peine plus haut qu’un cheval. Si Larm avait tant de mal, c’est qu’il ne voyait quasiment rien et que l’autre était bien plus rapide et agile que lui. Et il n’avait aucune envie de tuer une si belle créature. Mais plus le temps passait, plus il se rendait compte qu’il n’aurait pas le choix pour sauver sa vie. Réajustant les lambeaux de son armure, Liam s’accroupit, une main sur le rocher à côté de lui. Rassemblant ses forces, il respira en grand coup et écouta. Le dragon était relativement silencieux, et depuis le début du combat, Larm avait beaucoup de mal à le localiser lorsque la bête disparaissait de son champ de vision. Détaillant chaque bruit qu’il entendait, Larm tentait vainement de trouver le dragon. Soudain, il ouvrit les yeux et se jeta en avant. De justesse. La gueule du dragon qui était passée par-dessus sa cachette se referma sur le vide, à moins de deux centimètres de sa botte. Larm roula à terre et se releva promptement, faisant face à une créature déchaînée. Le dragon écumait de rage. Qu’est-ce que j’ai bien pu faire pour qu’il soit comme ça ? Qu’il soit énervé, certes, mais pas à ce point... Larm évita l’assaut du dragon, sa lame crissant contre les griffes acérées qui avaient tenté de le décapiter. Le jeune homme prit la fuite parmi les rochers qui couvraient le versant de la montagne. Combien de temps courut-il ? Il ne le sut jamais, ayant perdu la notion du temps, ne pensant qu’à une chose : courir pour survivre. Si encore il avait eu une lance... Mais avec une épée, le combat était trop inégal, même contre un jeune dragon. Il n’avait jamais assez de recul pour utiliser ses flèches, et le soleil levant lui enlevait trop de visibilité, déjà qu’il ne voyait pas grand-chose... Larm finit sa course derrière d’énormes rochers à l’entrée d’une vaste grotte. Haletant, il s’y adossa et reprit son souffle comme il put. Puis son esprit se remit en marche : grotte = présence éventuelle de dragon. Il se remit en garde immédiatement, mais aucun bruit ne venait de la caverne obscure devant lui. La seule chose qui dénotait était une odeur de sang, et ce n’était pas le sien. Prudent, et surveillant ses arrières, Larm s’aventura dans l’antre noir. Ses yeux s’accoutumaient au fur et à mesure que la lumière déclinait. Larm ne voyait plus grand-chose lorsqu’il mit son pied dans une flaque d’un liquide plus épais que l’eau. Du sang. Il distinguait une énorme masse sombre devant lui. Les doutes qu’il entretenait depuis son entrée dans la caverne s’envolèrent : il y avait bien un dragon ici, mais celui-ci ne devait déjà plus être de ce monde. Larm posa doucement sa main sur ce qu’il identifia comme le dos du dragon. Les écailles rêches lui griffèrent la paume. Elles étaient froides, et l’absence de mouvement trahissait un cœur qui s’était arrêté de battre. En contournant le cadavre, la main de Larm rencontra diverses blessures, dont certaines qu’il reconnut : des lances. Ce dragon avait était grièvement blessé et avait juste su rentrer chez lui avant de mourir dans d’atroces souffrances. Larm secoua la tête. Les dragons étaient dangereux, mais cela nécessitait-il de les abattre systématiquement ? Un bruit à l’entrée de la caverne alerta Larm qui fit volte-face. Ce faisant, il glissa et tomba sur le dos droit dans une énorme mare de sang. Le liquide vermeil teinta l’intégralité de son corps avant qu’il ne puisse réagir. Il se releva le plus vite possible, tâtonnant à la recherche de son épée qu’il avait fait tomber dans sa chute. Ne la trouvant pas, il s’essuya comme il put le visage pour y voir un peu mieux, mais cela ne s’arrangea guère. Le bruit qui l’avait alerté se reproduisit, tout proche. Un raclement de griffe sur la pierre. Larm arrêta de bouger et tourna lentement la tête vers l’entrée. Le jeune dragon se trouvait à quelques mètres de lui. Il s’approcha de l’immense cadavre, puis le poussa avec son nez en lâchant un grognement plaintif. Larm fit vite le rapprochement : le jeune avait perdu sa mère à cause des humains, alors il était parfaitement logique qu’il l’attaque avec une telle haine. Larm posa sa main sur le sol, touchant du bout des doigts son épée. Doucement, il en saisit la garde. Le métal crissa sur la roche maculée de sang : un bruit à réveiller les morts. Larm déglutit. Le jeune dragon se tourna vers lui en grondant, toutes griffes dehors et découvrant les crocs. Puis il se calma et s’approcha avec méfiance. Larm n’osa pas bouger. Si le dragon approchait encore, son cou serait à hauteur de sa lame, et un sel mouvement permettrait au jeune homme d’avoir la vie sauve. Le dragon s’approcha encore, puis tendit le cou. Son petit nez écailleux vint renifler la poitrine de Larm. Le sang l’induit en erreur. Ce dernier ne fit pas un geste alors qu’il avait l’occasion de mettre un terme à ce combat pour sa vie. Le dragon le poussa légèrement en émettant d’étranges petits bruits. Larm reposa doucement son épée puis leva une main, paume vers le haut, avant de l’approcher de la tête du dragon. La créature eut un mouvement de recul, puis se laissa faire. Larm posa sa main sur la joue du dragon Surpris par ce contact, la bête ne bougea cependant pas. Larm plongea son regard dans celui miroitant du dragon. Sans qu’il le sache, son féroce ennemi venait de devenir celui qui partagerait sa vie, ses joies et ses peines. — Shan. Un nom, un simple nom, mais qui venait pourtant de signer le début d’une longue amitié.
Larm lâcha la selle devant lui et leva les bras en l’air. Shan en profita pour faire un tonneau, arrachant un cri de surprise au guerrier. – Shan ! Tu veux me tuer ? Un grondement amusé lui répondit. Ils se trouvaient loin dans les airs, proches des nuages, les battements vigoureux du dragon les maintenant au sommet du monde. Cela faisait quatre ans qu’ils s’étaient « rencontrés », Larm avait alors vingt-quatre ans, et Shan avait quatre mois, et le jeune homme portait toujours les cicatrices de ce jour-là. Shan n’avait pas été facile à apprivoiser, en témoignaient de nombreuses autres cicatrices qui étaient venues s’ajouter à celles déjà existantes. Et désormais, plus rien ne pouvait séparer le dragon et son dragonnier, ils étaient liés pour de longues années encore. Ils avaient passé quatre ans à se découvrir et à parcourir les routes, puis les airs lorsque Shan avait été assez grand pour supporter le poids de Liam sur une distance respectable. Larm n’avait cependant encore jamais revu Ilya, et sans la chercher activement, il ne manquait jamais de se renseigner partout où il passait pour savoir i quelqu’un l’avait vue. A croire qu’elle s’était évaporée. Larm se repositionna en selle, se pencha jusqu’à être presque allongé sur son dragon, et agrippa les attaches à l’avant de la selle, attaches qui lui permettaient de rester plaqué contre la bête lorsque celle-ci faisait des figures dignes de la haute-voltige parfois. Shan secoua la tête et souffla, laissant échapper un nuage de fumée. Larm sourit, il avait appris à lire les paroles de son partenaire à travers son comportement. — Où nous allons ? Là où Filéole te portera mon grand, le monde est assez vaste pour nous occuper pendant des années encore. Sauf si la Confrérie de Récleyés fait encore des siennes. En plus de tenir à sa liberté, Larm aimait se battre, et Shan n’était pas en reste. Explorer le monde pouvait bien attendre si ces parasites décidaient de revenir sur Madelle. Shan déploya ses ailes et se laissa porter par les courants aériens tandis que Larm fermait les yeux et se laissait bercer par le vent frais.
Et dans la vraie vie ?
| PRENOM : Manon AGE : 19 ans AVATAR : Personnage de Final Fantasy XIV TU FAIS DU RPG DEPUIS LONGTEMPS ? J’en ai fait durant longtemps puis j’ai arrêté pendant longtemps, donc il va me falloir un peu de temps pour retrouver mes marques ^^ COMMENT TU AS CONNU LE FORUM ? Par le concours sur Créateur2Forum, je suis tombée amoureuse du design puis de l’histoire. UNE QUESTION, SUGGESTION ? Une seule chose : corriger les fautes que l’on trouve dans le contexte, dans le descriptif des peuples, dans la signature de Mère Nature... (vioups j’ai rien dit ^^) |
Fiche créée par Madouce pour Epicode
Dernière édition par Larm Valden le Mer 3 Juil 2013 - 22:50, édité 13 fois |
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