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Madelle | Forum RPG Heroic Fantasy
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Courons sur les dunes [Neaflys]

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Message(#) Sujet: Courons sur les dunes [Neaflys] Courons sur les dunes [Neaflys] Icon_minitimeSam 11 Mar 2017 - 22:40

Courons sur les dunes [Neaflys] 788674Entte
Neaflys Elsagus
« Vous savez, j'aime beaucoup les épées, mais vous voudriez bien la ranger ... ?»


Courons sur les dunes [Neaflys] Xy2q
PRENOM(S): Neaflys
NOM: Elsagus ou Al'Sahghis
DATE DE NAISSANCE ET LIEU: un campement au Nord de Karnès, circa 1222 (pas de calendrier dans la tribu)
AGE: 26 ans environ
PEUPLE: Humain
CONFRÉRIE: Namès (nomades)
RANG: Voyageur
Courons sur les dunes [Neaflys] 4voz
VÉRITÉ PRINCIPALE: Vérité de l'Être
DESCRIPTIF:Neaflys peut, avec beucoup de concentration, atteindre des niveaux de calme qui lui permettent de percevoir le corps d'une personne par le biais de sa Vérité . La sensation que cela lui procure est dure à définir, mais il la compare au fait de se pencher sur un lac ou une rivière, qui représente l'état actuel de la personne concernée. Il peut percevoir les ondulations et les mouvements de sa surface, ce qui lui donne une compréhension vague et instinctive de l'état d'esprit de la personne,  et rien de plus(sort). Lorsque la personne est blessée (plaie ouverte, coupure), il perçoit également la lésion comme un "mal" qui perturbe ou détruit le lac de vérité de la victime, et peut se servir de sa volonté pour le contenir ou l'arracher, soignant ainsi le blessé (sort). L'utilisation de son don ne lui cause pas d'épuisement particulier mais un contact physique lui est nécessaire, et la moindre faille dans sa concentration signe l'échec de sa tentative, il arrive donc fréquemment qu'il échoue ou ne parvienne que partiellement à ses fins.

ARMES: Il possède un sabre.
DESCRIPTIF: L'arme est de mode orientale : sa lame est courbe et n'a qu'un tranchant, son pommeau est en métal martelé dans lequel sont imprimées des runes décoratives sommaires.


Je suis et je resterai



PHYSIQUE :


 Je suis un jeune homme plutôt grand, je fais presque un mètre quatre-vingt-dix. Le vent sec et brûlant du désert m'a donné les traits racés de ma tribu, un visage harmonieux mais nettement dessiné où viennent se nicher deux yeux d'un brun chaleureux souvent transformés en un regard narquois par des sourcils noirs et expressifs. Le bas de mon visage est mangé par une barbe courte, naissante et contraste en ce sens avec mon crâne : des cheveux que l'on devine châtains ne mesurent que quelques millimètres de haut et sont régulièrement rasés -sur les tempes ou complètement- afin de dévoiler les tatouages rituels bleutés qui courent sur mes tempes, mon occiput et se rejoignent sur ma nuque, reçus à l'adolescence au moment de quitter les miens et sensés me protéger des Vers des Sables au cours de mes voyages.

Mes épaules sont larges, peut-être issues d'un lointain métissage Arvèle sur lequel la dureté du désert et la frugalité des repas Namès ont imprimé leur marque : en subsistent une musculature sèche, mince, déliée, qui me donne plus un profil de coureur des sables que de gladiateur et joue sous ma peau au moindre mouvement.

Un fin réseau de veinules étire ses branches depuis ma gorge, sous mes clavicules saillantes et le long de mes avant-bras où il se mélange avec le tracé blafard de cicatrices superficielles. Une ligne en relief d'un pouce barre mon flanc droit là où un couteau a failli me coûter la vie.

Je ne porte pas la traditionnelle toge Namèse, lui préférant le pantalon ample et resserré aux chevilles des nomades d'une teinte bleu-nuit et le beige sale d'une tunique fine de laine brute. Je ne porte plus le foulard écarlate de ma tribu sur mon visage depuis que j'ai quitté le Désert et l'ai à la place noué autour de ma taille.

Je porte peu de bijoux de réelle valeur, deux anneaux d'argent perçent mon oreille droite et un bon nombre de bibelots se sont succédés autour de mon cou, perdus au jeu ou troqués depuis longtemps.


CARACTÈRE :

J'ai été élevé dans la mentalité des nomades Namès : je tiens la liberté et l'indépendance comme les valeurs les plus importantes pour diriger sa vie, ce qui  m'a valu d'être renié par mon maître à l'époque où je me destinais à devenir un Neustro. Profondément indigné par l'esclavage pratiqué par ceux que je ne considère d'ailleurs pas comme mes semblables, je suis également fermement convaincu que la place des femmes de tout Madelle n'est pas celle que les Namès leur réservent.

Bien que conservant quelques vieilles superstitions concernant le Désert de la Patience, je me dirais athée et méprise l'omniprésence aveugle des différents cultes de Karnès, dont les habitants me paraissent être des versions creuses, asservies et fanatisées des peuples nomades que j'ai connu dans mon enfance.

Parfois revêche, je suis assez extraverti et accessible pour peu que l'on se fasse à mon humour tranchant. De manière visuelle comme orale, je reste expressif et spontané mais rarement franc : j'ai appris tôt que le mensonge est un moyen de voyage fabuleux qui peut ouvrir bien des portes. Je suis constamment dévoré par une curiosité dévorante qui constitua une des raisons majeures de mon départ du Désert et pense sincèrement mourir avant d'avoir pu apprendre et découvrir tout ce qui m'intéresse -plusieurs vies n'y suffiraient sans doute pas-.

Bien que passionné et soumis à des sentiments très tranchés et puissants, j'ai érigé le pragmatisme en valeur  maîtresse (ce qui m'a souvent sauvé la mise) et m'attache à ne jamais agir de façon irrationnelle, je juge que les gens qui se laissent emporter par leur colère se comportent comme des enfants capricieux (certains voient dans cette attitude des réminiscences du calme souverain des nomades).

Mon rapport à la loi est … disons compliqué. Une autorité que j'estime illégitime n'aura pas de prise sur moi autre que la menace (une pointe d'acier trempé contre votre nombril éclaire souvent les arguments de son propriétaire d'une lumière qu'on ne saurait remettre en cause) et si un code où un règlement m'entrave je le laisserai volontiers derrière moi. Je peux tisser des amitiés très solides qui sont probablement les seules choses capables de remettre en cause mon aspect rationnel, mais ma confiance est difficile à obtenir.


HISTOIRE :

Je suis né dans une tribu de nomades Namès, quelque part au Nord de Karnès, dans le Désert de la Patience. J'ai grandi parmi les miens, loin de l'omniprésence religieuse et conservatrice des citadins, dans un pays où les femmes étaient aussi libres et endurcies que les hommes, et où la seule chose qui inspirait une crainte proche de la vénération étaient les Vers des Sables qui soulevaient des dunes dans leur lent mouvement ondulant.

Mon enfance a été marquée par les jeux avec les autre bambins dans les rares flaques d'ombres que projetaient les imposantes tentes de notre tribu et les contes terrifiants que me racontait mon père lorsque la nuit et le froid tombaient sur le désert endormi. Les nomades ne possédaient que de rares ouvrages écrits, c'est donc par la traditionnelle transmission orale que j'acquis mes premières connaissances et goûtais à une chose qui devait façonner ma vie et mon caractère : le plaisir de la découverte.

Jeune adolescent, mes amis et moi échappions à a surveillance de nos parents pour parcourir les dunes à la nuit tombée, éclairés seulement par la lune qui nous donnait l'impression de courir sur des flots figés, exaltés par la violation de l'interdit et la joie simple de partager un moment loin des regards. Nous rentrions la peur au ventre après avoir aperçu la lointaine silouhette d'un Ver ou avoir senti une vibration suspecte du sol, détalant comme des lapins terrifiés jusqu'à retrouver l'enceinte rassurante du campement. Les matinées qui suivaient nos escapades étaient pleines de regard complices et de sourires à peine dissimulés.

C'est au cours d'une de ces nuits que j'éveillai ma conscience à la Vérité et découvris le don qui était le mien. Akir, de deux ans mon cadet, avait été mordu par une hyène à col rouge et aucun d'entre nous, malgré notre jeune âge, n'ignorait les cahnces de survie après une telle blessure. Nous avions rapatrié le jeune adolescent au campement aussi vite que nous avions pu, et mes comparses étaient partis réveiller les adultes. Seul avec Akir, le souffle court, j'avais senti la panique planter ses griffes dans mon bas-ventre et m'étais exercé à recouvrer mon calme. Ma respiration s'était faite plus lente, j'avais fermé les yeux en serrant la main du garçon dans la mienne.

Alors, un imperceptible clapotis m'était parvenu. Comme un bruit d'eau qui serait venu de mon esprit, d'un endroit que je ne pouvais voir et entendre que par la pensée. J'avais approché ma conscience du bruit et avait découvert le lac d'Akir, son être tel que la Vérité me le montrait. Sa surface  était agitée d'ondes de souffrance, et je percevais nettement les violentes secousses de la morsure profondément enfouie en lui. J'avais rassemblé ma volonté en une poigne implacable et, plongeant la main de mon esprit dans le corps du mourant, avais arraché le mal que j'y décelais.

En rouvrant les yeux, j'avais découvert la moitié de la tribu qui nous entourait, Akir et moi, et on pouvait lire sans aucune difficulté dans leur regard que quelque chose d'important venait de se jouer.

Après l'éveil de mon don, et à la grande fierté de mes parents, je me suis destiné à rejoindre les rangs des Neustros auprès desquels je me révélais être un apprenti talentueux.Hélas, la seconde année de ma formation devait aussi être la dernière.

Mon mentor et moi avions été appelés en urgence sur la scène d'une rixe ayant tourné au combat à mort : un père avait retrouvé l'homme qui avait violé sa fille et avait voulu se faire justice. Lorsque nous sommes arrivés sur la petite place du village, les deux hommes gisaient à quelques mètres l'un de le l'autre, chacun dans une flaque vermeil qui croissait à une vitesse alarmante. À en croire les traînées de sang, le criminel, blessé, avait tenté de fuir les lieux mais s'était effondré avant d'y parvenir.

Mon maître se précipita au chevet du père et je me dirigeai donc vers l'autre mourant. M'agenouillant à ses côtés, posant mes paumes sur son torse, je me perdis dans un vide absolu afin de trouver son lac intérieur. Le mal qui s'y trouvait était d'une puissance fabuleuse, agitant l'être tout entier du blessé d'un bouillonnement de douleur, labourant sa conscience et lui arrachant de longs râles humides. Je ressemblai ma volonté pour l'extraire et soigner sa plaie quand une image fugitive me traversa l'esprit. Celle de la fille devant laquelle nous étions passés en hâte pour nous rendre sur les lieux du combat. Celle de ses yeux vides, perdus dans le vague, comme si quelque chose en elle s'était brisé, ne laissant derrière qu'une personne creuse, sans vie, un pantin désarticulé.

Cela ne dura qu'un battement de coeur, mais c'était assez. Je savais ce que l'homme avait fait. Ce que le violeur avait fait. Il avait infligé un sort d'une cruauté immense à une innocente pour assouvir ses instincts bas, primaires. Il s'était comporté comme un animal. Dans un état second, détaché mais entièrement conscient de ce que je faisais, je desserai les griffes de mon esprit et laissais le mal que j'avais capturé plonger vers l'être agonisant, brisant sa surface et sa vie avec une même sauvagerie.

Je n'eus pas besoin d'ouvrir les yeux pour savoir que les plaies de l'homme avaient cessé de se refermer, et que l'auréole écarlate continuait de s'étendre autour de nous. Je sentis nettement son coeur s'arrêter de battre, aussi distinctement que je perçus la brûlure du regard de mon maître entre mes omoplates. Je me demande aujourd'hui encore lequel des deux me laissa le plus indifférent. Je me levai et affrontait sans pâlir la désaprobation furieuse du vieux Neustro. Je crus déceler dans ses yeux verts une lueur de regret, mais elle fut balayée par ma résolution nouvelle. Il y avait dans la neutralité inconditionnelle de l'Ordre, dans son refus de prendre part à quelque conflit que ce soit, une forme de lâcheté qui me rebutait. En les rejoignant, j'accepter de n'être qu'un témoin impuissant, un guérisseur sans jugement, un spectateur du destin en marche.

Je retrouvais dans cette abnégation le prêche des bigots de Karnès que je détestais déjà, et sentis une colère noire, froide, m'emplir. Après un instant qui sembla s'étirer au-delà de ma perception du temps, je rompis le contact avec mon ancien maître et tournai les talons.

Je retournai au plus vite au campement de ma tribu. Quand mes parents me virent revenir seul, après huit jours de marche, ils comprirent en un clin d'oeil ce que j'avais à leur annoncer. Je fis mes bagages en silence, abandonnant les effigies en bois sculpté polies par des générations de mains poupines qui avaient illuminé mon enfance sur le sol de notre tente. Je lu sans difficulté la désaprobation dans les regards qui pesaient sur moi en approchant de la limite du camp. Devenir Nesutro était un acte noble dont beaucoup de Namès espéraient pouvoir un jour se rengorger.

En signe d'adieu, mon père me remit son sabre, et je reçus avec un regard de reconnaissance soulagée l'arme courbe au pommeau d'acier martelé. Mes parents comprenaient ma décision, tout comme ils comprenaient qu'il me fallait à présent partir, quitter le Désert et trouver ailleurs la place qui serait la mienne. Je partis avec le sifflement du vent sur les dunes et une bénédiction d'acier au fil acéré.

Marchant à l'Ouest, j'atteins en quelques mois la Vallée d'Accro où je devais m'établir quelques temps. J'enchaînais les petits boulots plus ou moins licites et les gueules de bois, servant de guide, d'escorte, de coursier, de héraut. Malgré l'incapcité des locaux à prononcer correctement mon nom (Al' Sahghis), je pris goût à la vie dans cette région. Le climat y était meilleur que chez moi, et la cuisine Arvèle réveilla chez moi des trésors de gourmandise que j'ignorais jusqu'alors. Mes dons m'évitaient régulièrement des bagarres de taverne et me permettaient de refermer les lèvres fendues et les écorchures quand la diplomatie seule ne se montrait pas suffisante.

Poursuivi par certains créanciers irascibles, des maris ou des pères furieux, je fuis de bourgade en bourgade, changeant de nom comme de métier à chaque fois que je passe la porte d'un nouveau hameau. Pour tout vous dire, j'aime bien ma vie telle qu'elle est. Mais peut-être y manque-t-il quelque chose de plus grand. Peut-être que ce goût légèrement aigre qui se dépose sur mon palais lorsque je perds mon regard et mon esprit dans des pintes achetées à crédit n'est-il pas seulement dû à la piquette infâme qu'on y verse. Au fond de moi, je sais ce qui me ronge dans cette semi-décadence. L'aventure me manque. L'enfant nomade a de nouveau envie de courir sur les dunes de l'interdit.



Et dans la vraie vie ?

Courons sur les dunes [Neaflys] 895017hro
PRENOM: Error 404 name not found
AGE: 19 ans
AVATAR: aucune idée
TU FAIS DU RPG DEPUIS LONGTEMPS ? Sans compter les (longs) trous ? disons un an
COMMENT TU AS CONNU LE FORUM ? Par les arcanes sombres du dieu Google
UNE QUESTION, SUGGESTION ?Des cookies. Tout le monde aime les cookies.
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Dernière édition par Neaflys Elsagus le Dim 12 Mar 2017 - 14:33, édité 1 fois
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Winter C. Eliwën

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Message(#) Sujet: Re: Courons sur les dunes [Neaflys] Courons sur les dunes [Neaflys] Icon_minitimeDim 12 Mar 2017 - 10:27

Coucou et bienvenue parmi nous :3
C'est cool de voir un nouveau Names, j'espère que tu seras validé rapidement ! Happy
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Eien VerteFeuille

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Message(#) Sujet: Re: Courons sur les dunes [Neaflys] Courons sur les dunes [Neaflys] Icon_minitimeDim 12 Mar 2017 - 10:40

Bienvenue comparse nomade X3 !
Tu as une très jolie fiche ^^.
Au plaisir de RP avec toi !
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Message(#) Sujet: Re: Courons sur les dunes [Neaflys] Courons sur les dunes [Neaflys] Icon_minitimeDim 12 Mar 2017 - 11:46

Merci beaucoup ! On a fait un petit débrief avec Maman Forêt hier soir sur la CB et j'ai édité le tout, je croise les doigts pour n'avoir rien oublié Smile
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Message(#) Sujet: Re: Courons sur les dunes [Neaflys] Courons sur les dunes [Neaflys] Icon_minitimeDim 12 Mar 2017 - 13:42

Oy!

Ta fiche est validée, par contre tu as oublié le changement d'Est pour Ouest ^^ Tu remportes 14 points d'expérience pour ta présentation.

Il faut donc maintenant ouvrir ton carnet de voyage pour y retranscrire tes sorts et délimiter davantage le 1er sort pour dire quel type de sentiments tu peux ressentir.

Sache également qu'il y a un concours de défis qui est toujours ouvert en ce moment, si tu as envie de gagner rapidement des points d'expérience, n'hésite pas.

Je te souhaite un bon voyage sur Madelle
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Message(#) Sujet: Re: Courons sur les dunes [Neaflys] Courons sur les dunes [Neaflys] Icon_minitime

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Courons sur les dunes [Neaflys]

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