Kaleb. L'Humain. La silhouette petite, le déplacement rapide et glissant, comme un serpent, de celui qui à l'habitude de marcher sur les dunes de La Patiente. Un corps robuste, habitué aux durs labeurs du travail et au mauvais traitement du temps.

Kaleb. L'étrange. Celui dont le corps apparaît et disparaît. Aussi éphémère que le vent et aussi fugace que la chance. Ombre de nuit et Ombre de jours. Flou, indescriptible.Tel est son corps. Tantôt maigre Tantôt mince. Petit puis Géant. Un corps changeant au regard du soleil qu'il représente. On ne le voit pas on ne l'entends pas. Il te délivre de la douleur puis disparaît envoyant ton âme à Uraang. C'est son métier et son rang. Personne ne le voit et personne ne l'entends

Kaleb. Le fils du soleil . D'abord normal, avec ses lèvres pulpeuses, un nez court et droit.Presque Parfait. Ses cheveux possèdent mille couleurs en un dégradé incroyable d'or d'ambre et de caramel. Des yeux d'un vert intense, éblouissant sur cette peau de cuivre, chaleureux remplis de joie et de confiance . Des pépites d'émeraudes. Une peau brune , marqué par le travail et par l'apprentissage. Une peau peu douce recouvert de poil à certains endroits. Puis vient le croyant, aussi incroyable qu'effarant. Il ne se préoccupe pas de son physique. Son être respire la religion et ses gestes sont toujours emprunt de gravités et de solennités.

Kaleb. L'Homme. Un visage grave et doux à la mâchoire carré et au menton pointu. Aux arcades prononcées et aux fossettes voyantes. Des traits graves mais souriant, laissant apercevoir  le calme qui l'occupe. Une voix douce mais tranchante et une bonté qui transparaît dans son visage.

Kaleb. Le nomade. Des vêtements blancs et fatigués sans aucun décors si ce n'est la ceinture sertie de décoration vouées aux dieux, anciens et nouveaux. Un foulard qui lui protège le visage ainsi que la tête et à son cou une dizaines d'amulette  un sac vieux contenant des paires de chaussures de rechange et des vêtements. Des sandales de cuirs ou des bottes fourrées. Dans sa sacoche, des herbes médicinales mais aussi des livres sur les légendes et de l'argent. A sa ceinture, une deuxième bourse doublé de fer et son fouet.  Et enfin pour finir un bâton de marche, qui lui sert à parcourir le chemin tracé par les dieux
 

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  Sed quid est quod in hac causa maxime homines admirentur et reprehendant meum consilium, cum ego idem antea multa decreverim, que magis ad hominis dignitatem quam ad rei publicae necessitatem pertinerent? Supplicationem quindecim dierum decrevi sententia mea. Rei publicae satis erat tot dierum quot C. Mario ; dis immortalibus non erat exigua eadem gratulatio quae ex maximis bellis. Ergo ille cumulus dierum hominis est dignitati tributus.

  Eodem tempore etiam Hymetii praeclarae indolis viri negotium est actitatum, cuius hunc novimus esse textum. cum Africam pro consule regeret Carthaginiensibus victus inopia iam lassatis, ex horreis Romano populo destinatis frumentum dedit, pauloque postea cum provenisset segetum copia, integre sine ulla restituit mora.

  Vide, quantum, inquam, fallare, Torquate. oratio me istius philosophi non offendit; nam et complectitur verbis, quod vult, et dicit plane, quod intellegam; et tamen ego a philosopho, si afferat eloquentiam, non asperner, si non habeat, non admodum flagitem. re mihi non aeque satisfacit, et quidem locis pluribus. sed quot homines, tot sententiae; falli igitur possumus.