d'AMARANTE AL'DRYS !

« Fumée, rêverie du feu. »

PRENOM(S): Al'drys. NOM: d'Amarante. AGE: Trente-et-un ans. PEUPLE: Liare. RANG: Dragonnier, espionne à ses heures perdues.

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VÉRITÉ PRINCIPALE: « I'm so hot steam looks cool. » ou l'utilisation du feu sous sa forme aérienne. DESCRIPTIF: Al'drys est capable de dégager une fumée épaisse, grisâtre et parsemée de cendres chaudes. Visuellement, lorsqu'elle utilise sa Vérité, elle donne l'impression de chauffer tant et tant que, telle un feu incontrôlable, elle se met à produire cette vapeur étouffante. Bien sûr elle gère à quel point cette dernière peut être nocive, à quel point les braises peuvent être brûlantes, à quel point l'épaisseur du brouillard peut aveugler. Al'drys est en contrepartie particulièrement à l'aise dans cet environnement, qu'il soit créé par son impulsion ou bien naturel, lui permettant de craindre assez peu les alentours enfumés des lacs de lave. Cependant, elle n'est pas immune aux brûlures des éléments qui ne sont pas créés par son organisme. ARMES: Al'drys est une utilisatrice du combat au corps à corps et ne possède pas d'armes à proprement parlé, disons davantage d'un apparat offensif. DESCRIPTIF: Al'drys revêt des gantelets d'un noir profond qui lui arrivent jusqu'aux coudes et dont les doigts s'achèvent sur des griffes acérées, à l'image de celles des dragons.

Je suis ... et je resterais ...

PHYSIQUE : Al’drys est une liare et rassemble, en conséquence, toutes les particularités de sa race, à exception faite de la queue que les Dieux ont décidés de leur enlever. De taille moyenne pour une femme de son peuple, elle est, du haut de son mètre soixante-dix neufs, une trentenaire dans la fleur de l’âge. Sa peau grise souligne des yeux d’un brun banal, reflet d’une âme discrète et ne laissant de ce fait pas réellement passer les états d’esprit de cette dernière. Ses lèvres sont d’un rosé relativement prononcé, lui donnant un côté aguicheur, lolita sur le tard tout à fait involontaire que son comportement n’est pas sans réfuter. Ses cheveux sont d’un noir de jais mi-long, souvent relevés au-dessus de sa nuque et encadrés de cornes descendantes d’un blanc crémeux, presque jauni, donnant l’illusion d’une couronne défraîchie pour une princesse de substitution. Ses sourcils fins sont souvent taillés sur mesure, trahissant sa coquetterie certaine, et sa peau est parsemée de tatouages d’un blanc laiteux comme il est souvent coutume de s’en accoutrer chez les liares. En plus de ses gantelets de combat, qu’elle porte de toute façon en permanence ou presque puisque stylisé sur mesure à ses tenues quotidiennes, Al’drys préfère le cuir au tissu, rechignant les robes et jupes pour mieux accorder ses pantalons et autres jambières à son haut qui, lui, laisse apparaître un décolleté suggestif. Jamais rien de vulgaire, tout en sensualité – ou tout du moins c’est ce qu’elle se plait à se dire, mais sa maigre poitrine n’attire, au final, que les regards qui daignent s’attarder faute de mieux. Car Al’drys n’est pas voluptueuse, bien loin de là. Son corps fin, cependant, forgé au combat, aux exercices divers et au climat rude du territoire de feu, ne dissimulent rien des muscles que ces éléments lui ont accordés au fil des années.

CARACTÈRE : S’il fallait deux adjectifs pour résumer Al’drys, ce serait ‘force’ et ‘fierté’. C’est une jeune femme indépendante, libre et autoritaire, toujours passionnelle et d’une générosité prononcée. Parfois trop vaniteuse, cependant, un peu d’humilité et de prudence ne lui ferait pas de mal. Optimiste, sa capacité à réagir aux échecs est une qualité qui n’a pas sans été lui sortir une épine du pied à maintes reprises. Plutôt appréciée dans son entourage, en particulier celui du professionnel, sa grande détermination la rend capable de s’adapter sans problèmes aux activités les plus diverses – et aux gens qui entourent ces derniers en second lieu. En effet, Al’drys sait se glisser en société qu’importe les personnalités qui peuvent en faire partie ; c’est, entre autre, la raison pour laquelle tant de monde l’apprécie et si peu peuvent, paradoxalement, véritablement vous répondre lorsque vous leur demandez de vous décrire sa personnalité. Al’drys a le gout du luxe, de la richesse et de la belle vie ; de ce fait, elle déteste la médiocrité. C’est une femme précieuse, non pas dans le sens où elle refusera de se salir les mains, mais elle aime à se revêtir de bijoux, à paraître propre sur elle et à charmer, sourire, se mettre en avant. Séductrice, oui, mais loin d’être infidèle ; en effet elle est d’une loyauté sans faille, en amitié comme en amour, prête à tout pour offrir aux personnes aimées ce qu’ils méritent et désirent. D’un sens de la justice aiguë, elle se plaît à aider la veuve et l’orphelin au quotidien mais est d’une lucidité assez prononcée pour s’intéresser aussi à la vie politique. Rien d’étonnant, du coup, qu’elle fasse partie intégrante de la rébellion qui secoue alors les terres de Feu depuis un peu moins d’une année. Elle fut même des premiers à la rejoindre, connaissant de près les initiateurs du mouvement. Excellente menteuse, elle est la personne référent lorsqu’il s’agit d’aller glaner des informations du côté de la cour. Bien que de basse extraction elle a pu sans mal s’intégrer à cette vie mondaine qui lui correspond plus ou moins tout à fait, et bien qu’elle ne soit pas considéré comme de la noblesse elle possède un certain réseau à l’intérieur de celui-ci. S’il existe quelqu’un au courant des potins du coin, alors c’est bien Al’drys, et elle met son savoir relativement futile au service de la rébellion.

HISTOIRE : Al’drys est née au pied du Mont Torgern, d’une famille de liare bien sous tous rapports. Première fille d’un couple d’honnêtes travailleurs, son père est un tanneur de cuir – ce qui expliquera plus tard sa préférence en cette matière pour tout et toute chose – et sa mère ce qu’on appelle une ‘voyageuse’ ; en effet, malgré la température assez haute dans cette ville construite stratégiquement, les alchimistes ont mis au point ce qu’on appelle communément une pierre de feu, caillou phosphorescent qui, une fois posé à côté d’une source de grande chaleur, recueille cette dernière pour l’irradier pendant quelques jours. Les voyageurs sont alors appelés à effectuer des allers – retours réguliers entre Glasgo et la ville pour fournir aux habitants de cette dernière les pierres de feu rechargées. Si elles ne sont pas indispensables, presque tout le monde en possède une. Une histoire de confort un peu superficiel. Al’drys eut le droit à une éducation relativement mitigée : en effet, les monarques en place (et leurs prédécesseurs avant eux) faisaient alors subir à leur peuple une régression certaine en limitant l’accès au savoir pourtant phénoménal des liares. Restreinte à emmagasiner une maigre quantité d’informations, Al’drys est encore aujourd’hui une femme intelligente qui manque pourtant cruellement de culture générale pour une digne successeur de son peuple.

Très vite, pour compenser son ennui, elle accompagna sa mère dans ses tâches, la remplaçant même lorsqu’elle fut assez vieille pour prendre la route seule et que sa génitrice était enceinte de ses cadets. Elle tomba amoureuse de la ville et décida d’ailleurs de s’y installer une fois sa majorité atteinte. Cet univers lui correspondait bien davantage, et elle sut y trouver sa place avec les années, son caractère y aidant largement. Elle resta en très bon terme avec sa famille et retourne régulièrement les voir ou les accueillant chez elle de temps en temps. Elle trouva un travail de chasseuse dans la vallée des âmes, apprenant à manier des armes de base comme l’arc même si elle était toujours bien à l’aise à user des arts martiaux. Éventuellement, elle devint particulièrement douée pour s’y repérer et sert de guide aux tailleurs de pierre qui s’aventurent parfois plus profondément dans les terres pour chercher leur bonheur.

C’est durant une de ses expéditions, d’ailleurs, à la recherche d’un monstre à la viande goûteuse que les restaurants s’arrachaient tant la noblesse en raffolait, qu’elle entendit une sorte de râle résonner non loin d’elle. Là, dissimulé au milieu de rochers, coincé dans un mince espace exigu, se trouvait ce qui semblait être un nid. Au milieu de celui-ci, encore recouvert de morceaux de l’œuf dont il venait vraisemblablement d’éclore, se tenait une créature qu’elle n’avait jamais vu autre part que dans des livres. Un bébé dragon. D’abord effrayée à l’idée que la mère puisse revenir et ne la tue pour avoir osé approcher sa progéniture, Al’drys se rappela la traque dont ces derniers avaient été victimes. La mère de cette bestiole avait probablement été chassé, ou pire si elle avait refusé d’abandonner ses petits. D’abord complétement désarçonnée, la jeune liare décida cependant d’en prendre soin. Sans le savoir, elle venait de lier une relation privilégiée avec le dragon qui, bien des années après, reste encore la personne la plus importante dans sa vie et si Al’drys ne peut plus l’abriter sous son toit considérant le poids et la taille de la bête, il ne se passe pas une journée sans qu’elle ne perdre quelques heures en sa compagnie.

Se renseignant sur les dragons, donc, elle en apprit davantage sur la restriction que les personnes au pouvoir avait fait subir à son peuple et très vite, elle se sentit révoltée et concernée par la situation. Elle qui auparavant n’en avait cure décida qu’il était temps d’y faire quelque chose. C’est ainsi qu’elle rejoignit ce qui était alors les bribes de ce qui deviendrait un véritable élan de rébellion des années plus tard, et bien qu’elle ne soit pas à la tête de celle-ci elle est un élément primordial, loyale et active du mouvement. C’est entre autre grâce à Syrio, son dragon qui s’avéra être un mâle, qu’ils purent s’établir dans la montagne que le monstre garde précieusement, y établissant en quelque sorte son domicile. Seuls les liares ayant prouvés leur allégeance à la résistance sont au courant de son existence et c’est un secret particulièrement bien gardé. Bien que n’ayant jamais quitté sa terre de Feu natale, Al’drys ne ressent pas particulièrement l’appel du Monde extérieur, même si dernièrement il semblerait que certaines actions du mouvement puisse l’appeler à s’y plier. Pour le moment, elle se contente d’agir au sein même de son territoire, engagée et fière, se contentant de sourire au danger en espérant que sa position ne vienne jamais à leur nuire, à Syrio et à elle, bien décidée à contrer les plans machiavélique de cette Royauté un peu trop imbue d’elle-même.

Et dans la vraie vie ?

PRENOM: Raphaëlle. AGE: Dix-huit ans. AVATAR: Une version personnelle de Daenerys Targaryen par Ross Tran. TU FAIS DU RPG DEPUIS LONGTEMPS ? Oui. COMMENT TU AS CONNU LE FORUM ? Partenariat. UNE QUESTION, SUGGESTION ? Pas pour le moment, merci.

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