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Madelle | Forum RPG Heroic Fantasy
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Messaline Isildro, la Reine délaissée

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Message(#) Sujet: Messaline Isildro, la Reine délaissée Messaline Isildro, la Reine délaissée Icon_minitimeDim 23 Juin 2013 - 17:38

Isildro Messaline
« A chaque lame dissimulée dans l'ombre, j’opposerai ma volonté... Et la caresse de mes bourreaux. »
Messaline Isildro, la Reine délaissée 86003889i7PRENOM(S): Messaline.
NOM: Isildro.
AGE: 36 années.
PEUPLE: Liares.
RANG: Reine des Liares.


Capacités

Messaline Isildro, la Reine délaissée Kdixneuf VÉRITÉ PRINCIPALE: La Vérité de la roche.
DESCRIPTIF: Que le courroux de la Reine s'éveille, et même la terre en vient à trembler. Usant de sa vérité comme moyen d'intimidation autant que de défense, Messaline n'hésite guère à faire frémir le sol sous les pieds de ceux qui l'ont offensé. Quand elle désire les priver de leur mobilité, la roche s'ouvre pour mieux les happer, jusqu'aux chevilles, à la taille ou encore jusqu'au cou, la Reine seule en décide. Ainsi, là où son pas sera sûr, celui de ses ennemis ne rencontrera qu'un terrain hostile, les empêchant de progresser jusqu'à les immobiliser totalement. Si l'étreinte de la roche ne suffit pas à arrêter l'ennemi, la Liare lui opposera un mur qui la dissimulera. Au premier viendront s'ajouter d'autre, qui tenteront de se refermer sur l'impudent, le retenant jusqu'à l'arrivée des gardes.

Cette dernière manipulation, la Reine l'a développée au point d'en faire une punition. Dans la salle du trône même, l'individu à châtier se verra cerné de toutes parts par des murs. Lui sera alors annoncer son unique objectif : fuir et trouver la sortie, avant que les gardes lâchés dans ce labyrinthe ne le trouvent et ne le taillent en pièce. Jeu cruel, car les spectateurs ont rarement vu, une fois le piège mis en place, une quelconque sortie demeurée, une fois les murs s'étant refermés derrière les chasseurs. Les rares à avoir vu un condamné en réchapper ne l'évoqueront jamais.

ARMES: La Larme Rouge.
DESCRIPTIF: Alors que les tentatives d'assassinat se multiplient, la Reine ne regrette en rien de savoir manier sa lame, l'un des rares cadeaux de ses géniteurs qu'elle ait conservé, et qu'elle garde constamment sur elle, de jour comme de nuit, en compagnie de ses conseillers comme des paysans venus demander audience. S'entraînant régulièrement afin de conserver d'excellents réflexes, elle n'use néanmoins de son arme qu'en dernier recours, alors qu'un assassin sera parvenu à l'atteindre malgré ses protecteurs, ou sous l'effet de la fureur. Dans ce dernier cas, elle ne fera pas dans la dentelle, et tailladera son adversaire sans vergogne.

L'arme en elle-même fait la taille d'un avant-bras adulte, d'où que la Reine la ceigne à sa taille. La poignée est faite d'un métal résistant et de couleur dorée. Certains disent que l'or rentrerait dans sa composition, mais ignorant le nom de la personne qui la forgea, ce n'est pas la Reine qui décrirait à qui le lui demande les propriétés de son arme. Le métal enserre à l'une de ses extrémités une pierre rouge, là encore la rumeur voulant qu'il s'agisse d'une goutte de sang de Dragon cristallisée. La lame quant-à elle tranche la peau et les chairs comme du beurre. Que Messaline conserve la Larme jusque dans son lit illustre bien sa confiance en ses capacités pour ne pas s'ouvrir les veines dans son sommeil.



Je suis ... et je resterais ...



PHYSIQUE : Le matin-même, la Reine avait mené l'audience dans toute sa majesté. Revêtant les vêtements légers d'une Liare, mais faits de tissus précieux à la douceur incomparable, elle s'était avancée juste qu'au trône lui correspondant, une courte trame, un fin voile glissant à la suite de ses pas, enlaçant gracieusement ses jambes élancées, dont la musculature évoque ses activités martiales, jusqu'à sa taille autour de laquelle était nouée une ceinture de cuir sombre, des lanières d'une même teinte enserrant ses cuisses. Frôlant le fourreau de métal finement ouvragé contenant la Larme Rouge, ses bras, dont les mains avaient perdu une part de leur douceur de part son usage de son arme, s'étaient élevés alors qu'elle s'adressait à l'assemblée d'une voix ferme et claire. A son cou brillait une pierre dorée, sertie dans d'autres lanières autour de son cou, de la même matière que celle qui enserrait sa fine et ferme poitrine ainsi que ses hanches. Son ventre était laissé nu, la Reine souhaitant rappeler que de là était l'unique matrice pouvant mettre au monde les enfants du Roi.

Son corps entier se voulait représentation des attraits Liares. Son corps athlétique présentait l'apanage de son peuple : des cornes, qui ceignaient son visage comme nulle couronne ne le pouvait, surmonté d'une crinière noire hérissée, car ses anciennestresses ne servaient que de prises à ses potentiels meurtriers. Son visages aux traits carrés, mais possédait néanmoins une once de la douceur d'une femme pouvait exprimer aussi bien une satisfaction altière ou un souverain déplaisir, la première venant faire naître l'ombre d'un sourire sur ses minces lèvres, le second faisant durement se plisser ses paupières, rendant plus dure son regard enflammé. Ce même regard qui avait couvé l'assemblée aussi longtemps qu'avait duré l'audience, semblant transpercer chaque individu présent, à l’affût de la moindre ombre de félonie. Droite dans le roc sculpté, elle avait étiolé de sa présence l'absence du roi, malgré le siège vide à ses côtés.
CARACTÈRE : En ce jours, alors que tous frémissaient, redoutant les haches des êtres armurés à la solde de la Reine qui gardaient la salle, et surtout la volonté Royale qui pouvait faire s'abattre ces lames à tout instant, oui, qui eut pu imaginer, ou se remémorer l'enfant qui avait été offerte au Roi ? Qui encore conservait le souvenir de ses naïfs rêves de dragons et d'escapades aériennes, de ses songes délicats d'avenir fait de tissus et de joyaux, non pas emplis de sang et de lames avides ? Si ce n'est la Reine elle-même, qui en gardait le souvenir tout en se distinguant bien de cette écervelée qu'elle était alors, il n'y avait que le conseiller Ekzuun. Autrefois simple guérisseur à la Cour, Messaline l'avait élevé une fois qu'elle avait saisi les rênes du royaume, que le Roi son époux délaissait si volontiers, préférant partir guerroyer. Car il avait été là à ses débuts, ne la prenant pas de haut, veillant sur elle, et l'accompagnant dans sa douleur, sans jamais se détourner alors que tout lui paraissait bien sombre. Ce vieillard aux cornes torsadées, et à la peau dure comme du vieux cuir, demeurait depuis plus d'un quart de siècle dans l'ombre de la Reine, et il était bien l'un des seuls à ne pas la voir avec effroi, mais avec le chagrin d'un protecteur qui n'a pu la protéger des événements qui sont venu l'assaillir.

Derrière la froideur et sa violence, le fait qu'elle n'hésite pas à torture, faire exécuter, à menacer, ne prêtant foi à la parole que de peu de personnes, Ekzuun voit la crainte de la trahison exacerbée par sa solitude, alors que celui qui devait veiller sur elle en tant qu'époux l'a abandonné en maintes occasions sur son trône gris, au sein d'un royaume en proie aux troubles civils. Malgré toutes les attentions du vieil homme, la Liare a dû agir par elle-même pour se défendre, et conserver le pouvoir dans une poigne de fer sanglante. Se préserver elle-même, préservée sa descendance, préserver son trône... Alors même que le Roi la trahissait. Voilà encore autre chose qui a aigri l'adolescente avide d'amour d'autrefois. Abandonnée et menacée, la nouvelle des aventures de son époux sont venus l'atteindre en son sein alors si fragile. Alors qu'elle luttait au sein de la Cour, échappant de peu à des tentatives d'assassinats, elle apprenait que, non content de demeurer loin d'elle, le Roi occupait d'autres lits que le sien, des lits qui s'avéraient fort féconds, embrasant davantage le brasier de sa douleur éperdue. Plutôt que de s'effondrer, la Reine avait choisi de s'endurcir, délaissant ces émotions qui la rendaient si faible et vulnérable. Même le concept d'honneur avait été délaissé, terreau bien trop fertile aux coups bas pouvant lui coûter la vie.

Se détournant d'abord du Roi, la Reine avait dû en faire de même avec les hommes et femmes de la Cour. Bien vite, elle avait saisi que sa jeunesse ne leur offrait la vision que d'une proie dont il fallait se saisir, amadouer par des cadeaux, des courbettes et de soi-disant bons conseils... Avant de s'enrichir à ses dépends, de gagner davantage de pouvoir. Mais ces trahisons avaient fait naître sa fureur. De ces cendres de dévastée était née la rage, celle de ne permettre aucune infamie, de faire payer à ces bâtards arrogants la moindre de leurs fausses paroles. Le vieil Ekzuun n'avait rien pus faire alors qu'un déluge de têtes était venu souiller les pierres de la cour du château. Tant de nobles dont les familles horrifiées avaient assisté à l'exécution, sans que la Reine ne fasse montre de clémence envers aucun d'entre eux.

De ces sombres temps avait germé la crainte de la Reine, au courroux mortel, qu'était venu transformer en hantise les multiples oreilles dont elle s'était dotée à travers les terres Liares. Jouant le jeu dangereux de se défier des nobles et de bien le leur faire savoir, la Reine Liare s'était ainsi empressée de "s'armer" : offrant juteuse récompense à qui livrait ses pairs, elle avait formé autour d'elle une garde dévouée. Là se trouvait une grande ironie : aux gueux qui acceptaient de se trancher la langue et de la servir jusqu'à la mort, apprenant l'arme du combat pour mieux la protêger, à leur famille était offerte l'éducation auxquelles tant aspiraient. Là était le chantage que la Reine avait trouvé pour garder sous sa coupe bien des âme désormais dévouées.
HISTOIRE : A présent, chacun s'en était retourné, bien peu satisfait. Dans la grande salle, ne demeurait que les âmes damnées et muettes de la Reine, dont les corps armurés semblaient orner les froids murs, alors que leurs lames brillaient dans le faible éclat de lumière... Ainsi que le vieux Ekzuun, solitaire dans sa connaissance. Jamais il n'avait abandonné ni n'avait menti à Messaline, et voilà pourquoi il possédait encore sa tête, et que ses pieds foulaient encore le sol de cette salle. S’avançant un peu de l'ombre du trône de la Reine, il pencha son regard ancien sur elle. Ses épaules encore jeunes semblaient s'être voûtées, alors que ses yeux perdaient de leur flamboiement, contemplant le sol, quelques marches plus bas.

"Y pensez-vous encore, ma Reine ?"

Sa voix fatiguée sembla ne pas atteindre la Liare. Les pensées de celles-ci étaient bien trop loin...


Elle n'était encore qu'une échevelée qui espérait être amoureuse. Son ventre rond ne pouvait qu'être la preuve que le Roi son époux l'aimait, n'est-ce pas ? Aussi gardait-elle le sourire, malgré que ce nouveau poids vienne l'alourdir et l'entraver. Malgré que de sombre murmures lui soient parvenus, par l'intermédiaire de ses Conseillers d'alors. "Complot ma Reine, complot, il ne faut pas vous montrer..." C'était idiot, son peuple l'aimait. Elle veillait comme elle le devait sur la tradition, et au maintien de la Royauté en l'absence du Roi... Ainsi que sur sa descendance. Sa femme de chambre lassait doucement des bandes de tissus autour de ses hanches, censées l'aider en soutenant son début de ventre. La jeune Reine souriait en contemplant les prémices de cette vie à venir. Ah naïve ! Mais la femme avec elle n'était pas aussi confiante, et ne cessait de lui jeter d'inquiets regards.

"Mais cessez donc Caïté, tout ira bien je vous l'assure !
- Ma dame, les gens sont en colère...
- Ne dites pas de sottises, je veille sur le Royaume, l'héritier grandit en mon sein et le Roi mon époux guerroie fort bien ! Le peuple peut n'être qu'heureux !"


Aveugle au monde. La jeune Liare était alors encore aveugle au mécontentement, et seule la compassion d'une femme de chambre la préserva, et lui permit de survivre à sa naïveté.

"Ma Reine... Permettez que nous échangions nos rôles...
- Mais que dites-vous ?
- Je... je vous en prie, pour vous reposer, et vous divertir. Ne souhaitez-vous pas pouvoir observer sans que l'on ne sache qui vous regardez ? Laissez-moi revêtir vos atours, quelques draps serrés sous des lanières me donneront votre silhouette.
- Oh, cela pourrait être amusant... Et intéressant ! Faites, faites !"


Qu'elle avait ri, la jeune Reine, alors qu'elle échangeait ses doux tissus pour ceux plus rêches de la servante. Oh ce que cela l'avait fait sourire, alors qu'elle s’emmêlait les doigts dans les lacets de sa tenue, qu'elle devait serrer autour de la silhouette menue mais soudainement plus ronde de Caïté ! C'est toute amusée qu'elle présenta la chose à ses gardiens, qui eux le prirent tout à fait au sérieux. Pour eux, la servante était une doublure, et la procédure, loin d'être un jeu. Mais la Reine ne le considérait pas de ce point de vue. Alors qu'elle se positionnait, quelques minutes plus tard, derrière le trône et que le servante officiait à sa place, récitant les éternelles paroles ouvrant une audience, elle riait encore sous cape, souriant devant la naïveté de ses sujets. Ne voyaient-ils pas que ce n'était pas elle qui se tenait là ?

S'amusant de la situation, elle ne prêta guère d'attention au page qui se présenta, tenant un verre et un linge, proposant un rafraîchissement à la figure de la Reine. Que ses serviteurs étaient attentionnés, songeait-elle, bien cachée dans ses vêtements usés. Un jeu, rien qu'un jeu d'enfant bien vite mise au pouvoir. Aussi ne saisit-elle pas la menace, alors que la servante déguisée jetait un regard confus au page... Tandis que de sous le linge ce dernier sortait une dague, qu'il enfonça violemment dans le ventre de la fausse Reine. Le temps se suspendit, alors que la lame pénétrait dans le tissu, le page enserrant sa royale victime bien plus que ne le permettait l'usage...

"A MORT LA REINE ! A BAS LE ROI !"

Le cri rageur fit s'ébranler l'illusion de la Reine cachée, qui assista impuissante à l'attaque... La servante eut pu survivre, son ventre rond n'étant fait que de tissus, si l'assassin ne s'était pas accroché à elle, même dans leur chute dans le petit escalier. Le cri de Messaline retentit, alors que la lame se levait, tout juste rouge à sa pointe... Avant de s'abattre. La véritable Reine accourut, de même que ses gardes. Mais ceux-ci arrivèrent trop tard, alors que l'homme continuait de hurler : "A MORT LA REINE ! A BAS LE ROI !" tout en visant cette fois la poitrine, la gorge et le visage de la servante, éclaboussant les pierres de son fluide vermeille. Les gardes furent pris par surprise, alors qu'un corps s'abattait sur le duo sanglant. Arrachant au cadavre la Larme Rouge, la jeune Reine tourna vers l'assassin abasourdi son regard fou... Avant de lui ouvrir la gorge. Il voulut porter ses mains à la rivière rouge qui se mit à couler. Messaline lui taillada les doigts, enragée. Il l'avait tuée ! Il avait tué Caïté ! Il avait tué Caïté parce qu'il voulait la tuer elle ! Les joues, les yeux... Le déluge de coups de lame ne s'acheva que quand les gardes stupéfaits parvinrent à se saisir de la Reine folle, alors que le visage du faux page n'était plus qu'un amas sanglant.



La Reine s'arracha à la contemplation de ce sol où Caïté avait trouvé la mort à sa place. La pierre avait été mille fois frottée depuis cette première tentative d'assassinat, et pourtant la Reine croyait encore et toujours voir l'éclat d'une goutte entre les interstices. Posant les yeux sur le vieux Conseiller, son ombre fidèle, elle lui laissa voir un instant la tristesse que faisait naître en elle ce souvenir. La première tentative, alors qu'elle portait l'héritier du trône. La première mort qu'elle avait causé, à son sens... Éprouvait-elle un de ne pas avoir pris les coups ? Non. Du regret de ne pas avoir déjà à l'époque le bon sens de ne laisser personne l'approcher sans son consentement. Sa seule réponse à Ekzuun fut :

"Vous m'avez bien servi, aujourd'hui encore, Conseiller. Allez vous reposer."

Le vieil homme ne put que s'incliner, avant de s'éclipser, laissant la Reine seule avec sa Garde Muette. Elle ne redoutait pas de parler en leur présence, elle avait veillé à ce qu'ils ne puissent jamais la trahir avec leurs mots. Que leurs enfants profitent de l'éducation qui leur était offerte, tandis que leurs pères y sacrifiaient leur langue, demeurant à jamais illettrés et analphabètes... Mais forts dans le maniement des armes, et prêts à mourir pour elle. Elle ne leur en demandait pas plus. Ramenant ses voiles autour de ses jambes, elle laissa son regard allait de l'une à l'autre des silhouettes en armure. Elle les avait eux... Elle avait Ekzuun... Mais du Roi elle n'attendait plus rien, si ce n'est qu'il lui rende hommage en tant qu'époux à chaque retour. Infidèle loin d'elle, tandis qu'elle-même ne l'était pas. Elle n'acceptait de porter que des enfants de sang royal... Même si le fruit de leur union ne lui avait rien apporté de bon.

C'est après la naissance de cet enfant sans cornes que son époux avait pris l'habitude de visiter d'autres lits. Une déception, une immense déception que cet enfant. Sensible là où il devait être fort, irréfléchi dans ses fréquentations... La seule parade qu'elle avait trouvé, pour ne pas le secouer en lui hurlant d'arrêter de pleurer, avait été de l'enfermer dès qu'il faisait montre de sensiblerie. Elle eut dû le cloître une fois pour toute, au moins ne serait-il pas aller se perdre dans des bras humains... Un éclat de colère vint faire se tordre son visage, au souvenir de cette autre tête qui était tombée. Maudit fils faiblard, maudit époux absent et infidèle, maudits rebelles... Tous, à leur manière, œuvraient à la faire chuter, de ce trône auquel elle n'avait jamais aspiré.

Se relevant avec lenteur, elle se dressa bientôt, magnifique, adressant une promesse muette à cette grande salle si vide, si froide, hantée par des hommes sans voix...


*Je ne céderais pas. J'ai fais ce trône mien, que m'importe vos lames, votre fiel, votre bêtise... Votre sang coulera avant que ma tête ne tombe.*




Et dans la vraie vie ?

Messaline Isildro, la Reine délaissée Sans_titre6-dff6e6ce19PRENOM: Secret.
AGE: Bientôt 18 ans.
AVATAR: IgorKieryluk.
TU FAIS DU RPG DEPUIS LONGTEMPS ? Bientôt un an.
COMMENT TU AS CONNU LE FORUM ? Partenaire.
UNE QUESTION, SUGGESTION ? Présentement, non. A voir à l'avenir o/.

Fiche créée par Madouce pour Epicode, ne pas retirer le copyright


Dernière édition par Messaline Isildro le Ven 28 Juin 2013 - 0:38, édité 11 fois
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Mère Nature

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Messages : 4767
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Expérience : 3999

Message(#) Sujet: Re: Messaline Isildro, la Reine délaissée Messaline Isildro, la Reine délaissée Icon_minitimeDim 23 Juin 2013 - 18:50

Bienvenue sur le forum \o/ Je suis aux anges que tu es prix la reine des Liares ! J'ai sauté de joie en voyant ta fiche *-*. Avant que tu ne continues ta fiche, il faudrait que tu augmente son âge, car le prince héritier (ton fils) à 27 ans si je ne m'abuse il faudrait donc qu'elle aie au moins 43 ans au moins (:
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Message(#) Sujet: Re: Messaline Isildro, la Reine délaissée Messaline Isildro, la Reine délaissée Icon_minitimeDim 23 Juin 2013 - 22:02

Mais pourquoi si vieux... Bon, j'en avais pris compte, mais j'avais oublié une dizaine xD ! Rectifié !

Et fiche terminée aussi n_n .
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Auxane Taël

Auxane Taël

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Messaline Isildro, la Reine délaissée Left_bar_bleue4/9Messaline Isildro, la Reine délaissée Empty_bar_bleue  (4/9)
Message(#) Sujet: Re: Messaline Isildro, la Reine délaissée Messaline Isildro, la Reine délaissée Icon_minitimeLun 24 Juin 2013 - 9:42


Très belle fiche et en plus faite en un temps record, je m'incline (: On retrouve dans ta fiche plein d'éléments que j'avais cité je ne peux donc qu'approuver cette présentation qui est très fidèle au prédéfini. Tu as su créer le personnage de mes rêves ! Une reine sanguinaire comme je l'attendais =D, tu es bien évidemment validé.

Avant de partir à l'aventure, il faudrait que tu ouvres ton carnet de voyage, nous l'imposons pour répertorier les sorts des personnages, je te laisse lire ce sujet - lui- afin de voir ce que nous attendons dedans. La zone Rp t'es ouverte, mais en attendant une petite validation tu ne pourras pas utiliser ta Vérité.

En tout cas je te souhaite une belle et grande aventure au sein de Madelle et vive la reine Bouffon

ps : pour l'âge c'est pour éviter qu'elle aie eu son fils avant 16 ans ^^
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Invité
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Message(#) Sujet: Re: Messaline Isildro, la Reine délaissée Messaline Isildro, la Reine délaissée Icon_minitimeLun 24 Juin 2013 - 13:57

Contente qu'elle corresponde bien au prédéfini, tout en me plaisant *-* !
Carnet de bord créé, je me suis permise de réutiliser le code de la présentation, j'espère que cela ne dérange pas. Sinon, je ferais bien entendu sans.

Pour le rang, ce serait possible d'avoir Reine des Liares ?
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Message(#) Sujet: Re: Messaline Isildro, la Reine délaissée Messaline Isildro, la Reine délaissée Icon_minitime

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