| (#) Sujet: Lenwë- La confrérie des anciens- Sentinelle Mar 13 Aoû 2013 - 22:21 | |
| Lenwë le sentinelle « Citation, devise, expression ... »
| NOM: Lenwë AGE: dans la vingtaine PEUPLE: peuple des hommes CONFRÉRIE: les anciens RANG: sentinelle |
Il n'y à qu'une vérité
| J'avais 12 ans quand la vérité est entrée en moi, le temps à changé, les éléments se sont manifestés et mon corps s'est transformé. Aujourd'hui, enfermé dans ma presque solitude je m'accorde avec la nature.
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L'âme et le corps sont deux choses distinctes.
PHYSIQUE :Nul ne peut apercevoir mon visage mis à part mes yeux bleu qui se reflètent au dernier rayon de lumière dans l'obscurité. Mon visage est mon corps sont cachés par une large cape sombre avec une grande capuche. Mon corps est néanmoins relativement petit et fin ce qui me permet de me cacher derrière ou dans les arbres. Je peux aussi aisément me déplacer avec rapidité et silence car je fais preuve d'une grande souplesse qui compense mon manque de force pour les affronts de corps à corps. Mais ne vous y fiez pas, car même si au combat à l'épée lourde vous m'exterminez, la puissance de mon arc fera qu'une simple flèche correctement placée pourra transpercer votre armure en premier lieux et quand la deuxième flèche que tirerais rentrera exactement au même endroit, votre vie sera déchue et cela même si vous vous trouvez à plus de 100 mètres de moi... CARACTÈRE :Comme je l'ai déjà dis plus haut, je suis un homme de nature discret, observateur, solitaire et entêté. Mais je suis également quelqu'un de fidèle, si par hasard vous gagnez mon amitié, vous bénéficierez alors d'un grand protecteur mais si par malheur vous osez me trahir ne fusse qu'une seule fois, vous pouvez dire adieu à tout ce que vous avez connu. Et si vous venez me voir pour prendre part à une quête ou une nouvelle aventure alors vous avez trouvé votre homme et votre guide par la même occasion ! Etant toujours à la quête de nouveaux savoirs, je m'intéresse fortement aux contes et légendes alors si vous êtes un conteur nous nous croiserons souvent. Dans ma solitude il m'arrive souvent de passer mes nuits à regarder les étoiles pour comprendre comment vas le monde ou même de jouer du *** mais par delà tout ce que j'aime et respecte, il y a mon cheval Aramys avec qui j'ai traversé les âges, les difficultés et les guerres. HISTOIRE :C'était au crépuscule, perché sur un grand rocher, dans le bouquant des chutes de Veroni mêlé aux hurlements de ma mère, que je naquit. Une mère de sang de Namès, le sang du désert et d'un père inconnu, jus qu’il y à peut... Ma mère avait pour habitude de me raconter des histoires, comme par exemple celle de comment elle s'était échappée du désert mais ma mère avait aussi pour habitude de ne jamais finir ses histoires et donc n'a jamais voulu me dire pourquoi elle s'était échappée du désert alors que son peuple y demeurait. Je grandi vite et j'appris beaucoup de chose en peu de temps car ma mère était une bonne instructrice et la nature me permettait de m'épanouir. Ainsi à l'âge de mes 10 ans, je savais monter à cheval, chasser, pêcher, reconnaître le bruit des oiseaux et dire le nom des plantes ainsi que leurs bien fait et méfait sur la vie humaine. Mais toujours je voyais dans les yeux de ma mère qu'elle attendait quelque chose de moi, quand elle m'enseignait la médecine, elle y mettait tout son coeur mais je ne donnais jamais ce qu'elle voulait.. j'avais constamment l'impression de la décevoir sur ce point. Et un jour, alors que j'avais 12 ans, ma mère mourut et je n'en compris jamais la raison... Ce jour là, une grande colère s'est éveillée en moi; le vent s'est mis à souffler très fort, l'eau des chutes de Veroni est devenue plus bruyante encore, la terre s'est mise à trembler, à se fragmenter, j'ai entendu les arbres hurler avec moi dans le plus grand des silences, j'ai senti le feu brûler dans mon corps, mes veines grossir, mon coeur aller plus vite, ma vision s'améliorer, mon ouille se développer et a force grandir; ce jour là, alors que tout me semblait déchu, mon corps s'est transformer et un nouvel espoir est né. Le soir même, j'ai enterré ma mère sur la plus haute des collines, sous le plus bel arbre où j'y ai gravé son nom: Naëra Sélérien la sagesse du désert. Il m'a fallu seulement trois jours pour me construire un nouvel arc plus puissant, réunir suffisamment de vivre pour tenir deux semaines, coudre la cape de ma mère pour qu'elle soit à ma taille et faire une bride et des sacoches en cuir de sanglier pour mon cheval. A la fin du troisième jour, au crépuscule, je partis avec Aramys chevauchant à cru vers de nouveaux horizons. Trois semaines plus tard alors qu'Aramys et moi étions épuisés et sans vivres, nous arrivâmes à la ville de Karnès et c'est là qu'un homme détruit ma vie. C'était un riche marchand qui me promis une bonne vie dans sa maison avec tout ce qu'il faut pour devenir "une petite gente comme il faut" disait-il.. Comme un jeune abruti, ce que j'étais en vérité, j'accepta. Alors le riche marchand m'offrit literie et nourriture et en échange, je devais faire les corvées de la maison pendant que Aramys, lui, broutait tranquillement dans la coure verdoyante de la demeure. Mais ça, c'était au début. Car quand j'eu 14 ans et que mon jeune corps grandi encore, cet homme, Barnac, vint un soir dans mon lit pour me violer et quand bien même j'hurlais ou me débattais, celui-ci finissait toujours par me ballonner, m'attacher et même parfois me frapper. Alors quand je compris que ce manège allait se répéter chaque nuit, je n'eu d'autre choix que de subir, me taire ou me faire flageller. Quant à Aramys, son boulot à ses heures matinale consistait à être attelé et faire le marcher, aux heures de midi, il fallait faire le coursier pour renouveler le stock et aux heures sombres, Aramys devenait cheval de guerre, risquant sa vie à tout moment... Mais une nuit s'en fut trop, je me rappelais d'une des histoires de ma mère, celle de sa vie avant que je naisse, de la dureté de la population du désert, de leur discrimination et de ce voyageur à la chevelure blonde qu'elle avait aimé. Cette nuit là je compris alors la fin de ses histoires, cette nuit là, je compris enfin qui était mon père et cette nuit là, je compris qu'il fallait que je sauve ma vie. Discrètement, je sorti de mon lit, ouvrit la porte et traversa le couloir. Dans le salon, Barnac accompagné d'autres hommes pour la plupart ivre mort riaient et buvaient à volonté. Je me dirigeais vers la chambre du maître, là, dans une armoire de bois ébène, je trouva mon arc que j'avais fabriqué il y a de ça 3 ans avec à ses côtés un brassard spécial où y était dissimulé une lame rétractable et une armure de cuir et bien d'autres vêtements. Dans la plus grande discrétion, je m'habilla des vêtements qui à cette époque étaient trop grands, pris mon carquois, banda mon arc et l'arma d'une flèche. Puis, je me dirigeais dans la cuisine où je remplis un petit sac en toile de nourriture et fini par me diriger dans le salon.
-Len' ?! s'étonna Barnac, Lenwë que fais-t...
Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase que deux des hommes qui étaient avec lui moururent d'une flèche en plein coeur. Barnac se leva difficilement, déstabilisé par l'ivresse, j'eu le temps de tuer le dernier homme avant de courir dans ma chambre et de me poster derrière la porte avec mon arc sur le dos. Barnac hurlant ouvrit la porte mais fini si tôt la gorge tranchée par la lame de mon brassard. Là, gisant au sol se trouvait le corps de mon persécuteur baignant dans son sang et dans le salon, ceux de trois hommes inconnus transpercés par mes flèches que je m'empressa de récupérer pour finir par courir dans les écurie récupérer Aramys, prendre les plus belles, solides et confortable affaires pour ainsi les installer sur son dos. Me voilà alors âgé de 15 ans, ayant tué les 4 premiers hommes de ma vie, partant faire la découverte du monde, partant vers de nouveaux horizons.
Aujourd'hui j'ai plus de 20 ans et je suis devenu sentinelle protecteur de la nature chez les anciens, là d'où vient mon père...
à partir de la fiche de présentation créée par Madouce pour Epicode,
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