Dans le village de (nom du village) un meurtre a eu lieu. La personne qui est morte est une personne très connue du village. C'est la fille du juge de la ville. Le maire, un homme au ventre bedonnant, ne veut pas laisser ce crime impuni ! Vous êtes de passage dans la région et votre réputation de héros vous a devancé ! Le maire envoie des messagers à votre rencontre ! Il souhaite que vous vous occupiez de cette affaire très dérangeante !


La maison du Maire : Cette maison est la plus grande du village. Elle s'élève sur un étage. Les murs du rez-de-chaussée sont faits de pierre brute alors que les murs du premier étaient en torchis avec des pans de bois. Le hall est grand et il y a un certain luxe pour un village.

Le village : Le village est composé de maison et ferme. La plupart des habitants sont des paysans qui vivent de l'élevage et de l'agriculture. Les maisons ont même parfois un potager et une petite cour avec une clôture. Les maisons ne s'élevaient pas plus haut qu'un étage pour la plupart. Il y avait bien sûr des habitants plus riche, comme le maire par exemple.


Votre premier message devra introduire votre personnage dans cette situation. La rencontre avec le maire ainsi qu'avec ses envoyés. Ils vous rencontre où ? Vous ne pouvez pas aller sur la scène de crime au départ au risque que les autorité vous éjecte ! Vous ne pouvez pas tuer les pnj bien sur ! Vous êtes représentant de la loi après tout !

"Aux alentours de Faras qu'ils disaient... vous pouvez pas vous tromper... pffff..."

Combien de jours s'étaient écoulés depuis le départ du jeune Récleyès de la plage des astres ? Lui-même avait cessé de se poser la question. A peine avait-il eût le temps d'honorer le contrat en éliminant comme à l'accoutumé le criminel qu'une autre proposition avait pointée le bout de son nez. Mais contrairement aux habituelles basses-besognes, cette requête semblait bien plus importante. La totale absence d'informations qui lui avait été confiée concernant cette mission l'avait interpellé.

Qui, quoi, où, comment ? Il ne savait presque rien. On lui avait seulement dit de se rendre dans un petit village non loin de Faras et d'y trouver le maire. Et tout ça avant le 4 Sorn. C'est après une longue réflexion que le jeune homme s'était décidé à entamer son voyage. Les braves hommes qui avaient sollicité ses services s'étaient quand même donné la peine de venir d'aussi loin pour venir lui parler en face à face. La récompense allait sûrement en valoir la chandelle. Du moins, il l'espérait. Et puis qui sait, peut-être allait-il avancer dans son enquête "personnelle".

Voici donc notre jeune ami, haletant et grommelant à cause de la longueur du trajet qui commençait sérieusement à se faire sentir. Fort heureusement, son sens de l'orientation était loin d'être mauvais, à moins que ce ne soit sa carte qui l'avait fortement aidé. Elwenos se trouvait effectivement dans la bonne région. Il ne restait plus qu'à demander un chemin à un vieux paysan ou à un gamin pour pouvoir atteindre le village dont on lui avait parlé. Manque de bol, il n'y avait personne. Pas âme qui vive.

Une légère brise caressa le manteau d'Elwenos qui se mis à remuer faiblement. L'aurore venait à peine de se lever. Le jeune homme réalisa bientôt qu'il n'avait pratiquement pas dormi cette nuit. Dans un endroit pareil, la civilisation ne semblait pas très présente. Il y avait bien l'ancienne capitale, mais il valait mieux éviter de se faire remarquer. Le jeune homme resta immobile, contemplant le soleil orangé s'élevant au dessus des arbres.

Ce n'est que lorsque la date du jour lui revint en tête que le jeune Récleyès accéléra le pas. Le 4 Sorn, c'était aujourd'hui. Il se risqua à suivre un sentier vaguement dessiné. Au point où il en était, autant tenter le tout pour le tout. Après avoir grimper sur une colline et atteint le sommet, il aperçut des cheminée fumante, puis des toits de maison. Sans même avoir pris le temps de vérifier, il dévala la pente en prenant soin de ralentir le pas dès qu'il franchit l'entrée du village dont il n'avait même pas noter le nom.

Malgré le fait qu'on commençait à le regarder bizarrement (peu d'étranger devait passer ici), cet endroit semblait tout à fait charmant et beaucoup trop tranquille. Maintenant qu'il était supposément arrivé à destination, il ne restait plus qu'à trouver la maison du maire qui voulait, selon les dires des deux individus, le rencontrer en personne. Il s'approcha d'une vieille femme qui ne semblait pas l'avoir remarqué.

- La maison du maire je vous prie.

- D-de, du maire du village ?

- Je suppose, oui.

La vieille dame ne semblait plus avoir toute sa tête et parlait très faiblement. Elle ne semblait néanmoins pas effrayée de l'apparence du jeune Récleyès, ce qui en quelque sorte le rassura. Une fois que la question fût montée au cerveau rouillé de la vieille femme, cette dernière indiqua une grande allée.

- Par là. C'est une très grande bâtisse, il est impossible de la rater m'sieur.

Elwenos s'inclina en guise de remerciement et donna quelques pièces d'or à l'individu. Après avoir marché quelques minutes au milieu d'habitations, de fermes et de paysan(e)s, il déboucha sur une maison qui effectivement était bien différente des autres. Devant le bâtiment se dressait une jeune femme accompagnée de deux personnes qui lui étaient étrangement familières. Le jeune homme s'approcha et constata que les deux hommes frappaient à la porte de la grande maison. Le Récleyès constata que ces derniers l'avaient remarqué et qu'ils lui adressaient un sourire ainsi qu'un léger acquiescement.

Il n'en fallait guère plus pour rassurer Elwenos qui inclina la tête en retour. Visiblement, il était arrivé à temps. Cependant, il ne prononça aucun mot et se contenta d'attendre la suite des évènements. On allait bientôt pouvoir enfin lui expliquer la raison de cette... "convocation". Il se demanda en revanche qui pouvait bien être la jeune femme à la cape verte. Un membre du personnel lié au maire sans doute.

Shallowers était à la forêt des mirlis, il décida de se rendre en terre de farras c'était une région qu'il connaissait plutôt bien pour y être passé pas mal de fois. Après quelques journées de marche, shallowers épuisé décida de faire une escale dans une petite ville proche de sa position. En sachant que les dragons étaient mal vus, il décida de demander à saphylia de se cacher et de se reposer pour les futures journées de voyage. Shallowers n'était pas très riche alors pour lui, les nuits à la belle étoile ne lui était pas un problème. Il se glissa alors dans les ailes de saphylia pour s'endormir. Pour lui le lendemain serait une journée de voyage enfin c'est ce qu'il pensait. Le coucher de soleil était plutôt jolie, une belle couleur orangée illuminait le ciel, Shallowers s'endormit avant même que la nuit ne soit tombée. Saphylia lui souhaita une bonne nuit puis referma ces ailes pour protéger shallowers. Sa dragonne n'allais pas dormir cette nuit dans l'objectif de protéger son maître.


Le lendemain, shallowers se réveilla le plus énergiquement possible. Il se retourna et il vit saphylia dormir il décida alors de la laisser dormir et il partit se promener dans la ville qui était juste en bas de la colline. À peine au porte de la ville, des miliciens lui demandèrent de s'identifier et s'ils pouvaient le fouiller. Shallowers n'ayant rien à cacher accepta sans résistance ou autre. Après quelques minutes, les miliciens laissèrent shallowers passait. Cela parût étrange, il se demanda la raison de cette sursecurite de la ville. Roh puis après tout, il n'était pas là pour ça, s'il était là, c'était pour attendre que saphylia se réveille. Shallowers regardais et scruter les moindres détails de la ville. C'est alors à ce moment-là, qu'il vit que deux hommes le suivaient depuis un petit moment. Shallowers décida alors d'aller à leur rencontre ce qui les surpris, sûrement ils ne s'attendaient pas à être remarqués, Shallowers pris alors la parole :

- Pour quelle raison me suivez-vous depuis bien 10 minutes ?

L'un des deux hommes répliqua :

- Shallowers c'est bien ça ? Votre réputation nous est parvenue des anciens de la forêt, ils disent que vous cherchez la justice et que vous êtes assez fort. À première vue, vous nous avez remarqué ce qui est rare. Nous avons besoin de votre aide.

Shallowers rougit de sa réputation puis reprit :

- De quelle nature est cette aide ? Est-ce pour ce que j'ai lu il y a peu au journal, le meurtre d'une jeune fille ?

Les hommes lui dirent de les suivrent puis en route Shallowers remarqua l'impressionnante bâtisse se dressant devant ses yeux. Quelques pas et shallowers arriva devant un grand portique en métal et il vit un groupe de quatre personnes attendre devant la porte. Sûrement était ce pour la même chose. Seul l'attente lui dira.

Elend s’étira, les premiers rayons du soleil venaient traverser les volets de sa chambre afin de se poser sur son visage, la journée commençait et il devait reprendre la route. Il descendit nonchalamment  les escaliers de la demeure et arriva  au niveau de la cuisine. Une vieille dame se tenait debout dans un coin de la pièce s’afférant à faire la vaisselle. Celle-ci le remarqua et le gratifia d’un sourire qu’Elend lui rendit gêné. La veille, épuisé par plusieurs jours de marche sans avoir pu passer une seule nuit décente, il avait cru malin d’utiliser sa Vérité sur cette femme. Cependant, dès qu’il activa son pouvoir elle le prit pour un de ses fils revenant à la maison ... Peut-être avait-il exercé une pression trop importante sur elle ou peut-être qu’au plus profond de son être, elle se sentait terriblement seul et souhaitait juste revoir ses enfants. Après réflexion, il avait succombé à l’appel d’un vrai lit et avait décidé de jouer le jeu.

Un panier remplis de sandwich était posée sur la table de la salle à manger, avait-elle prévu son départ ? Tant de gentillesse venant de la part d’une seule personne le touchait. Il s’en voulait de lui faire subir ce genre de tour et voulu la libérer de son emprise. Mais il n’en fît rien, elle semblait tellement heureuse d’avoir reçu sa visite qu’il ne pouvait se résoudre de la sortir de son illusion.  Il considéra l’éventualité de rester lui tenir compagnie quelques jours,  mais se ravisa, elle le prenait pour une personne qu’il n’était pas, il aurait été cruel de sa part d’en profiter. C’était décidé, il allait reprendre son chemin, il fît ses adieux à la vieille femme qui insista pour qu’il accepte le panier puis partit.

Voyager sur les Terre de Faras était chose aisée, les routes étaient bien entretenues et le danger était quasiment existant. Elend continuait à marcher le long du chemin de terre grignotant ce que lui avait préparé sa bienfaitrice. Cela faisait environ un mois qu’il avait quitté Arnlo et il n’était toujours pas arrivé aux Chutes de Veroni, combien de temps allait-il mettre pour y arriver ? Il ne le savait guère, tout ce qu’il espérait était qu’une fois sur place aucun évènement ne viennent empêcher ou retarder son exploration du Château de Mirabilia.

Après deux ou trois heures de marche et après avoir engloutis la moitié de son panier-repas et marcher, il devina à l’horizon plusieurs bâtisses. Les villages n’étaient pas rares dans les environs mais celui-ci lui semblait un peu plus grand, assez grand pour se permettre le luxe d’avoir pour habitant autres choses que des fermiers. Ce qui intéressait grandement Elend, il avait quasiment épuisé tous les vivres qu’il avait pu se procurer durant sa dernière halte en ville et ignorer la possibilité de trouver un marchand aurai été stupide de sa part. Il se dirigea donc vers le hameau.

Une fois aux abords de la bourgade, Elend augmenta la pression exercée par sa Vérité. Les habits de nobles qu’il portait habituellement allaient surement attirer l’attention, il ne faisait que compenser ce manque de discrétion avec son pouvoir. Il n’avait pas besoin d’être invisible aux yeux des habitants, juste d’être le plus quelconque possible. Il réajusta son chapeau, geste qui était plus un tic de sa part qu’un souci d’esthétisme, et pénétra dans  le village.

Cela faisait une dizaine de minute qu’il déambulait dans les quelques rues qui composaient le lieu, scrutant les façades des bâtiments. S’il y avait une boutique, elle était bien cachée et il n’avait pas particulièrement envie de passer sa journée à la chercher. Il allait abandonner quand une scène l’interpella, au milieu de ce patelin trois personnes aux habits colorés discutaient en face de qui semblait être une auberge. Dans une cité comme Arnlo, cela aurait été banale mais ici la plupart des habitants se contentaient de toges en jutes de couleurs très ternes en même temps ils pouvaient s’offrir mieux… Il ne put s’empêcher de s’approcher discrètement appuyant un peu plus son pouvoir sur le groupe d’individus. Ils commencèrent à se diriger vers le centre du village, Elend les suivit gardant une certaine distance de sécurité. Ils arrivèrent devant un énorme manoir, enfin énorme relativement aux habitations avoisinante, il était aisé de deviner que son propriétaire était une personne très influente ici. Il dû accélérer le pas quand ils entrèrent et réussis à passer in extremis avant que le battant de la porte se referme.

Dix minutes qu’il attendait dans le coin de la pièce et plusieurs individus étaient arrivés. Ils étaient au nombre de quatre dont la fille en vert qu’il avait suivi jusqu’ici, un homme ténébreux à capuche,  un garçon aux cheveux blancs et un aveugle. A eux cinq, ils formaient une équipe très hétéroclite, ce qui le poussait à se demander la raison de leurs venues. De plus les différentes enveloppes posées sur la table l’intriguaient au plus haut point. Les autres ne semblaient pas encore l’avoir remarqués, ce qui pour lui était une bonne chose. La porte s’ouvrit et un homme assez corpulent apparut, Elend écouta attentivement les paroles du bonhomme. Un meurtre ? Un mystère ? Bien sûr ce n’était pas une chasse au trésor mais c’était tout aussi intéressant ! Elend s’avança relâchant la pression de sa Vérité sur les personnes de la pièce, il atteignit la table et posa le panier qu’il avait encore en main. Il s’empara d’une des enveloppes puis s’adressa au maire :

"J’accepte votre requête monseigneur ." Il se retourna vers les autres membres avec un sourire et désigna le panier,   "Si vous avez faim, il y a de la nourriture là-dedans !"

Ce n'est que lorsque qu'une mince poignée d'autres personnes fût réunie que les deux individus s'étaient résignés à ouvrir cette grande porte. Le jeune Récleyès compris qu'il n'était pas le seul à avoir été sollicité. Il jeta un rapide regard afin d'examiner les autres personnes, et constata que chacun semblait avoir sa propre spécificité et était facilement différenciable. C'est comme s'ils formaient une équipe complémentaire. Quoi qu'il en soit, Elwenos n'attendais plus qu'une chose : qu'on lui explique la raison de cette convocation qui paraissait si importante.

Lorsqu'il pénétra dans le hall avec les autres personnes, notre jeune ami ne pu contenir sa surprise à la vue d'un habitat aussi grand et bien entretenu dans une bourgade qui respirait la crasse paysanne. A peine eût-il le temps de remarquer les cinq enveloppes qui étaient dispersées sur la tables qu'un homme barbu bien garni fit irruption et leur expliqua (enfin) le pourquoi du comment.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que leur hôte était bref, voir expéditif. Cette personne n'était donc ni plus ni moins que le maire, et il les avaient convoqués pour élucider le meurtre de la fille du juge, une personne qui semblait donc bien placée. L'homme ajouta également que les enveloppes était destinées à chacun d'entre eux et qu'elles contenaient un laissez-passer et de l'argent. Le point positif de la chose et que le maire de ce village payait à l'avance, ce qui convenait parfaitement au jeune Récleyès. Il ne restait plus qu'à faire le travail.

Un des membres du "groupe" ne se fit pas prier pour prendre sa part du gâteau en acceptant sans broncher la demande du Maire. Il était blond, bien habillé, et semblait étrangement sympathique. A ce titre, il se tourna vers les autres membres en leur désignant le panier qu'il avait déposé sur la table et annonça que dans le besoin, il y avait de quoi se rassasié. Une bien belle preuve de gentillesse d'autant plus que le jeune homme était affamé et n'avait rien avalé depuis la veille. Par politesse, il décida cependant de ne pas piquer la nourriture de quelqu'un qu'il ne connaissait même pas. Il se contenta d'acquiescer la tête en signe de remerciement et s'avança à son tour pour prendre son enveloppe sur la table et l'ouvrit.

Après avoir enfoui la carte dans sa poche, il calcula le montant de la somme avec minutie et constata que le vieillard n'était pas radin. D'un autre côté, l'apparence du hall transpirait le luxe et l'argent. Elwenos savait qu'il éradiquait la vermine de ce monde pour que des personnes comme ce Maire puisse dormir sur leurs deux oreilles. Le jeune homme rangea soigneusement l'argent dans son sac. Il regarda par la suite le Maire avant de l'interroger.

- Y'a-t-il moyen de savoir où le meurtre a eût lieu ?

Le village avait beau ne pas être bien grand, il serait idiot de perdre du temps à la recherche de l'endroit où a été commis le crime. De plus, Elwenos avait comme un mauvais pressentiment. Le fait que le Maire dû payer plusieurs personnes pour se charger d'une affaire aussi banale cachait forcément quelque chose.

Alors que Shallowers attendait devant la porte, une dernière personne arriva. Nous étions quatre ainsi que deux Valet dont l'un semblait s'appeler Peter. Ils étaient jumeaux et il avait de drôle d'habits. Mais soit, si il était ici ce n'était pas pour juger les gens. Avant de rentrer, les deux valets se mirent a dire qu'il manquait une personne, mais que le maire ne leur en voudra pas. Nous entrâmes alors tous puis nous arrivâmes à l'intérieur d'un hall resplendissant. On sentait ici que la vie ne devait pas être très difficile. Nous attendîmes environ deux petites minutes avant de voir le maire arriver. Une fois ce dernier arrivé, il nous réceptionna et les deux valets partirent.

Dans le hall où arriva le Maire, une table où cinq enveloppes étaient disposées attendait. Le maire commença alors un bref et concis discours dans lequel il exprime l'origine de cette assemblée. Il exprima aussi l'intérieur des enveloppes, Shallowers écoutait attentivement toute ces instructions. Une fois ces dernières terminées, un homme, blond apparut, et s'empara d'une enveloppe. Dans son élan, il déposa un panier à l'intérieur duquel de la nourriture était disposé. Il proposa alors aux autres membres si l'un d'entre eux voulait se servir. C'est alors après ce petit interlude qu'une deuxième personne s'empara d'une lettre.

Shallowers décida alors de faire de même, il récupéra une lettre et dans son mouvement observa les herbes comestibles du panier. Si Shallowers faisait ceci, c'était pour voir si certaines de ces plantes lui était inconnue, ici ce n'était pas le cas. Il hésita brièvement à voler une feuille, mais se résigna juste à retourner à sa place la lettre à la main. Une fois à sa place, un des hommes prit la parole et demanda le lieu du crime. Shallowers ouvrit alors l'enveloppe et découvre bien les biens exprimé par le maire. À l'intérieur de l'enveloppe, la carte, du moins le laissez-passer et les écus étaient présents. Shallowers fut surpris de voir une telle somme, ce n'est pas que c'était grand chose, mais c'était déjà une somme cocasse. Dans l'excitation, Shallowers posa une autre question au maire.

- Monsieur le Maire, vous nous avez convoqué, nous 5, pour un meurtre. Pouvez-vous nous expliquer les circonstances de la mort, la fille est-elle morte d'une vérité ?

Shallowers s'arrêta ici pour ne pas submerger le maire de questions. Une fois finit, shallowers se replaça dans un coin de la salle et attendais la réponse du maire. Shallowers en profitât pour regarder les différents membres présents, car ils allaient être camarade pendant cette journée. C'est alors qu'un d'entre eux l'interpella, c'était un homme qui semblait aveugle. Shallowers ne savait pas trop quoi en penser. Bref comme il se le redit dans sa tête, il n'était pas là pour juger. Plus vite cette histoire sera réglée plus vite, il retournera voir sa dragonne.