Fargé 4 du mois de Samùn, 1245
"Cher frère,
si je t'écris aujourd'hui c'est pour une information. Il y a de cela un jour, un homme s'est présenté aux portes de ma guilde. Il avait besoin d'une certaine épée pour dans une semaine qu'on ne trouve que dans une seule forge. C'est sur moi qu'est tombé la mission et j'ai bien évidemment accepter.
Malheureusement, l'adresse qu'il m'a laissé ne me dis absolument rien. Vue que tu es souvent aller dans le quartier des forges, j'aimerais que tu me dises comment trouver celle que je cherche. Tu trouveras l'adresse dans un papier avec la lettre.
Je te remercie a l'avance de l'aide que tu pourras me donner.
Je profite de cette lettre pour demander de tes nouvelles. Cela fait quelques mois qu'aucune de tes lettres ne parle de tes dernières lectures. Aurais-tu enfin terminer la bibliothèque de ton école?
Je sais que tu trouveras le moyen de te rendre dans une autre bibliothèque mais j'aimerais tout de même te faire une proposition. Vue que je ne suis pas non plus déconnecter des connaissances écrite; je passe régulièrement dans des lieux où je peux trouver des livres. A mon prochain passage, je peux t'en "emprunter" un.
Avec toute mon amitié,
Aklis"
Si seulement...
Je n'arrive pas a oublier
Toutes ces larmes partagée
Dans la douleur
Et cette éternelle horreur
Ou je ne peux que m'égarer
Dans un labyrinthe oublié
Où je pleure
Loin de mon coeur
Tout cela est si inutile
Je pourrai l'oublier
Mais mon coeur futile
Crie par millier
Dans un monde étranger
Ou tout mes rêve sont envolé
Il m'aurait suffit
D'un regard désolé
Et Ce souvenir taillé
Dans mon esprit
Serai partit
Si seulement je pouvais
Tout ces nombreux souvenirs
Les éffacer d'un unique tir
Si seulement j'arrivai
Tout ce que j'ai fait
Cela devrait s'oublier
Avec ma vie délaissé
Oh, si seulement
Oh, si je pouvais
Je détruirais cet horrible monde
Mais en une immense onde
Mon âme s'efface
Inutile
Au fond de cette âme qui est mienne
Je sens que je pourrai tout accomplir
Mais malgré tout, je n'arrive pas à rire
Je ne veux pas savoir que ma vie est vaine
Je sais qu'elle ne possède rien d'inégale
Mais mon regard est tout de même bien présent
Mon coeur n'a pas de balance a bien et a mal
Mais sa neutralité la tue tout doucement
Comment pouvez-vous suivre des mots proféré
Par quelqu'un qui ne vous prend tous ensemble
Je vois qu'il ne fais que vous entrainé
Dans un monde où tous se ressemble
Souvenir meurtris
Pourquoi tout cela est-il partie?
Pourquoi mon coeur, doucement se serre?
Pourquoi ne puis-je voir ce qui m'est cher?
Pourquoi est-ce ma vie?
J'entends au fond de mes sanglots
A travers quelques ultimes larmes
De doux, de tendre mots
Qui sont pour moi le plus beau charme
Tout ces souvenirs envolé
Brille autour de moi
En feu d'artifice d'étoiles égarées
Suivant chacun de mes pas
Tout ces sourires abandonné
Crie en moi mille promesse
De pleurs qui, en moi, tresse
Une infinie chaine éternellement brisée
Pourquoi tous ces malheurs?
J'aimerais que ce ne soit qu'un rêve
Que mes yeux s'ouvrent en trêve
Salvatrice a mon bonheur
©codage by Lipsy