Elora Alvares

« Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais »

PRENOM: Elora NOM: Alvares AGE: 18 ans PEUPLE: Humain CONFRÉRIE: Namès RANG: Prêtresse

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VÉRITÉ PRINCIPALE: Guérisseuse DESCRIPTIF: Une vérité ordinaire, commune des Namès, ni trop puissante ni pas assez. Elle peut refermer n’importe quelle plaie qui ne soit pas trop profonde. Il lui suffit d’approcher ses mains douces de la plaie pour que celle-ci soit auréolée d’une jolie lumière blanche et disparaisse peu à peu. Cela marche pour des blessures plus profondes aussi, mais en prenant un peu plus de temps et faisant ressentir une plus grande fatigue pour la prêtresse. ARMES: Une dague et un arc DESCRIPTIF: Une dague ordinaire, avec un manche en bois, à simple tranchant mais au couteau pointu qui peut faire pas mal de dégâts et lui est très utile pour cueillir les plantes, tout simplement. Son arc également est un arc simple, en bois, élégant, qu’elle adore utiliser pour son plaisir, rarement pour causer du mal mais dont elle n’aurait pas trop de mal si elle devait se défendre.

Je suis ... et je resterais ...

PHYSIQUE : « N’oublie pas ton sourire, car il fera plaisir aux gens que tu aimes et emmerdera ceux qui te détestent »

Du haut de ses 18 ans, Elora est une jolie jeune fille, on ne peut le nier. Non une beauté éclatante comme on peut en croiser, mais que l’on qualifierait plutôt du type « mignonne ». Ni trop grande, ni trop petite, elle se fond parfaitement dans la masse quand et si elle le souhaite. Sa peau est blafarde, ce qui peut être étonnant quand on sait que la demoiselle habitait dans le désert et y a passé toute son enfance. Non dénués d’imperfections, ses traits ne sont pas des plus doux, mais elle sait atténuer son regard pour parvenir à ses fins. Son regard… farouche et fier, de beaux yeux bleus, reflétant la lumière de dehors et ses pensées, ils ont l’intensité de l’océan et réussissent à faire plier beaucoup lorsqu’elle fait ses fameux yeux doux. Ses cheveux tout fins évoluent en cascade jusqu’aux omoplates, blancs striés de quelques mèches noires par endroit, dû au soleil de plomb qui tape constamment dans le désert.
Question vêtements, la jeune fille n’a pas beaucoup le choix. Du blanc, du blanc, sont habillés presque tous les Namès ! C’est le code. Cela ne dérange pas vraiment Elora, car il y a des infinies de possibilités, mais c’est vrai que le blanc n’est pas la couleur qui la met le plus en valeur. Donc, elle se retrouve avec de jolies robes, blanches, et, il faut l’avouer, souvent courtes également ; du moins quand elle en a le droit. En revanche, ni bijoux, ni ornements, ni tatouages, elle reste très simple dans son apparence bien qu’elle la soigne. On lui a toujours enseigné la modestie, et être humble lui a toujours servi, du moins dans son apparence physique.
Fière mais juste, elle s’assume entièrement, et qu’importe ce que les gens disent ? Son pas est assuré et son regard droit. Il est vrai qu’elle est plutôt frêle, mais les apparences sont parfois trompeuses...

CARACTÈRE : « Avoir la foi, c’est monter la première marche même quand on ne voit pas tout l’escalier »

Fragile ? Elora l’est peut-être physiquement, mais psychologiquement parlant, on ne peut estimer cela d’elle. Encore jeune et fraiche, elle respire la joie de vivre et essaie par tous les temps de garder le sourire, car comme l’a dit un homme, « on ne devient grand qu’en mesurant la petitesse de sa douleur », et se replier sur soi-même, s’apitoyer sur son sort ne sert à rien. Cela, Elora l’a bien compris.
Il ne faut pas confondre innocence et naïveté, en revanche. Bien dans sa peau, elle est loin d’être une jeune fille candide dont on peut faire ce qu’on veut et qui croit n’importe quoi. Bon, elle a peut-être un peu de ça aussi, mais…
Bienveillante, ce petit brin de femme possède une conscience anormalement élevée, malgré le monde de brute dans lequel elle vit. Elle est prête à beaucoup pour ceux qu’elle aime, et même pour ceux qu’elle ne connaît pas. Il faut toujours respecter les autres, qu’il soit pauvre ou riche. Eh oui, la petite Elora a des principes bien ambitieux… qu’on lui a inculqué depuis sa plus tendre enfance, ce n’est donc pas très étonnant. Non, elle ne suit pas simplement ce qu’on lui dit de faire !
Bien sûr, elle a toujours baignée dans cette atmosphère, mais on ne lui a jamais imposé ce mode de vie. C’est elle qui l’a choisi, parce qu’elle le jugeait bon et le respectait. Elle le respecte encore, d’ailleurs.
Cette jeune prêtresse est dévouée corps et âme à Mère Nature, malgré ce que les autres peuples pensent des dieux. Ils la respectent, mais avec mépris : Elora a depuis longtemps accepté cet état. Tout ce dont elle a besoin, c’est que les dieux ne l’abandonnent pas. Et comme elle sait que, bien que, surtout Mère Nature, ils ne se mêlent pas des affaires des hommes, elle sait donc qu’ils sont là et n’a jamais perdu foi en eux. Un jour, ils feront un signe, en attendant, il fallait faire avec et continuer de les honorer.
Mais même si Elora a toujours honorée sa Déesse, elle a d’autres ambitions encore. Dotée d’une curiosité sans bornes qui la pousse à poser un peu trop de questions, elle a tendance à s’aventurer un peu trop loin et à prendre toujours un peu plus de risques, malgré les interdictions et les menaces dont elle a fait une habitude et que la confrérie se donnait un malin plaisir de le lui rappeler. Encore une différence d’avec le reste de la communauté : la demoiselle est très ouverte. Elle n’a pas la même philosophie que ceux avec qui elle passe son temps : très ouverte à tout, elle a toujours envie de rencontrer d’autres peuples ! Surtout les Heleos, peuple qui l’a toujours fasciné depuis la première fois qu’elle en a entendue parler.
Un dernier point sur le caractère de la demoiselle… son esprit de fraternité. La communauté qu’elle forme avec les Namès est très forte, jamais elle ne pourrait les abandonner ou leur causer de tort, même si elle n’est pas d’accord avec eux sur certains points.
Pour elle, il faut savoir pardonner, car « la souffrance n’est pas une occasion d’haïr, c’est une occasion d’aimer ». A ne pas confondre avec la passivité ou le précepte de « si on te frappe, tend l’autre joue » ;au contraire Elora a toujours voulu savoir se battre. A mains nues, avec une dague, … Le tir à l’arc est un de ses passe-temps favori, quand elle ne prie pas.

HISTOIRE :  « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire »

Une confrérie. Une famille unie, soudée, qui a toujours fait face ensemble, contre tous. Ça toujours été ainsi, malheureusement. Les Namès méfiants contre les étrangers.

L’histoire d’Elora commence à Karnès, la capitale des Namès et la ville où elle vit le jour. Sa famille ? Un père autoritaire mais juste, une mère présente et aimante mais devant rester dans l’ombre, et un grand frère qui se croyait tout permis.
Le jour de sa naissance, ils furent déçus de ne pas avoir hérité d’un autre fils. Le père car il est bien mieux vu d’avoir un fils, même s’il en avait déjà un –heureusement–  et la mère car elle ne voulait pas que sa fille aie la même vie que la sienne, loin de l’égalité dont elle rêvait toujours. Mais que pouvait-elle faire ?

Elora comprit bien vite la place qu’elle devait prendre dans la communauté. Intelligente pour son âge, elle saisit rapidement l’inégalité homme-femme et surtout, surtout, l’étroitesse d’esprit concernant les autres peuples. Durant toute son enfance, elle s’en indigna, rêvant d’une société juste et ouverte. Mais elle comprit également que c’était loin d’être possible. Elle se passionna également pour autre chose, même si cette exaspération resta toujours dans un coin de son esprit.

Comme presque tous les enfants Namès, et comme ses parents voulaient absolument qu’elle soit prêtresse, elle passa toute son enfance dans les temples, à apprendre les Dieux et ce qu’ils ont la bonté de leur donner. Elle se consacra à Mère Nature. Peu à peu, Elora comprit. Elle su, tout simplement. Que les Dieux étaient là, et bien qu’ils ne se mêlent pas des affaires des hommes, surtout Mère Nature, il fallait leur donner l’affection et la foi, surtout. C’est ainsi qu’Elora devient une apprentie prêtresse digne de ce nom.
Oh, elle n’était pas naïve, loin de là, mais elle avait vécu assez de choses dans les temples pour comprendre. Qu’importe ce que les autres disaient et pensaient, elle respectait chaque opinion, mais rien ne lui ferait tourner le dos aux Dieux. Heureusement pour elle, les autres enfants, adultes, bref la confrérie pensait de la même manière, même si certains avaient un degré de foi moins élevé.

Etonnamment, on lui apprit également la Vérité, ce qui rendit son don plus puissant au fil des saisons.
La douce Elora se forgea son caractère dans Karnès. Elle priait dès qu’elle en avait l’occasion, se vouait entièrement aux Dieux, mais avait également ces petites caractéristiques rebelles, et alors ignorait les ordres et les interdictions et allait où bon lui semblait, même si c’était dangereux et que ses parents s’inquiétaient, à leur manière.

Mais elle savait que la Déesse Mère ne l’abandonnerait pas. Elle l’avait toujours fascinée, en plus, c’était celle qui avait donné la vie à toutes les autres… Pour Elora, c’était clair.
Et puis, c’était comme si elle était… reliée à cette Déesse toute puissante. Sans savoir pourquoi, comment, elle se sentait plus proche d’elle.

Elle devint une prêtresse dont la foi ne la quitta jamais. Mais elle voulut voyager, partir plus loin, alors, avec l’accord de ses parents et sous la fierté de sa mère qui sentait qu’elle était heureuse et en paix ainsi, elle voulut aller à l’autel de Mère Nature, dans la forêt des Mirlis. Un endroit où elle avait toujours voulu aller, car elle savait que l’empreinte de la Déesse serait forte.

Cependant, ça ne lui suffisait plus. Elle en voulait toujours plus ! Très ouverte –un peu trop ?– elle sentait que sa voie était encore ailleurs. Non, justement, que sa voie n’avait pas de racines. Evidemment, elle en avait dans le désert, avec la confrérie, mais aucune attache ne l’y reliait pour qu’elle y reste. Elle était libre de parcourir les contrés, et c’était ce qu’elle voulait.

Rappeler aux autres qu’il ne fallait pas abandonner la foi, trouver des endroits où l’empreinte des Dieux était présente, et voyager… rencontrer d’autres peuples alors qu’elle n’avait jamais connu que les Namès, trop fermés… elle qui rêvait de rencontrer un Héléos, le peuple qui la fascinait et la captivait depuis toujours, apprendre des tas de choses, apprendre à se battre aussi, à se défendre, …
Tout simplement à être indépendante.

Et dans la vraie vie ?

PRENOM: Appeler moi Elora ~ AGE: 17 ans AVATAR: ... TU FAIS DU RPG DEPUIS LONGTEMPS ? Non pas tellement COMMENT TU AS CONNU LE FORUM ? Partenaire UNE QUESTION, SUGGESTION ? A part que c'est un forum super complet autant niveau contexte que design non *-*

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